L'Île de Marana Chapitre 06
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... mais ne touche toujours pas le fond. Alors, je vais jusqu'à la petite cascade qui coule des rochers rouges et me passe dessous, puis je bois une bonne lampée. L'eau est délicieuse, chaude mais excellente. Dès que je l'ai avalée, je ressens une forme d'enfer et un bien-être total. Je nage et retourne vers les femmes. Maintenant, elles sont cinq. Deux autres géantes noires ont rejoint celles qui étaient venues avec moi.
Je ne sais que faire. Cela commence à faire beaucoup de monde. Une ou deux femmes, c'est génial et excitant. Cinq femmes, cela fait beaucoup, j'ai un peu peur, j'ai honte de ma nudité devant ces femmes.
J'attends en tournant en rond, espérant leur départ, mais personne ne semble bouger.
— Ne reste pas trop longtemps, me dit Sal'Lah. Ce n'est pas bon, l'eau est trop chaude en fin de journée.
Je suis bien obligé d'aller à la berge. Une des femmes approche et prend mon poignet pour me sortir de l'eau. Elle me porte ainsi jusqu'au groupe et je me retrouve tout nu au milieu de cinq géantes noires.
— L'auberge a vraiment un grand jardin, noté-je.
— Ce n'est pas le jardin, répond l'amie de Sal'Lah, c'est un parc. Le parc de Mar'Sil, c'est connu, on vient de loin pour se revitaliser.
Dire que je suis tout nu dans un endroit public.
— Rentrons, propose mon hôtesse.
Cette fois, je suis accompagné par cinq géantes noires. Je suis encore plus excité, à croire que les Indiennes ont raison, elles dégagent quelque chose qui excite, et quand elles ...
... sont plusieurs, c'est encore plus fort.
Nous prenons le même chemin qu'à l'aller pour rentrer à l'auberge.
— Il faudra retourner demain matin, me dit une des nouvelles femmes, c'est encore mieux. Après la nuit et l'exposition aux rayons de la lune, l'eau est meilleure.
— Je n'y manquerai pas.
Lorsque nous arrivons à l'auberge et entrons dans le patio, deux autres belles grandes noires viennent à notre rencontre. Sept femmes autour de moi, je me sens encore plus excité, rien ne vaut ce que je vis, entièrement nu entouré de sept géantes noires dont j'arrive à peine au pubis. J'ai envie de rester tout nu, je ne veux plus m'habiller, je veux sentir le grand pouvoir de ces femmes sur moi, et tant pis pour les conneries racontées par les Indiennes. Les sept femmes discutent entre elles, loin au dessus de moi, et décident de prendre l'apéritif sur la terrasse. La nuit vient de tomber, et le temps se fait plus frais. J'ai envie de rester nu, j'ai envie de rester nu tout le temps, comme un besoin irréfléchi. Mais je ne trouve aucune excuse. Alors que j'allais vers ma chambre, une des femmes me rattrape.
— Ne t'en va pas, nous t'invitons.
Les femmes m'emmènent à un grand salon autour d'une table basse. Je me retrouve sans choisir assis entre deux géantes noires, qui me coincent entre elles dans le fauteuil.
Deux filles noires apportent des plateaux avec des bouteilles et des verres. Je reçois un jus de fruit et elles semblent recevoir du vin pétillant.
— Quelle ...