SHERAZADE
Datte: 08/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Mature,
Hardcore,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... suce, boit, reçoit, qu’elle se fait remplir les orifices.
Le groupe d’hommes se disperse lentement. Il n’en reste plus que deux, puis un.
Lorsque le dernier s’en va, après lui avoir copieusement arrosé le visage une fois de plus, elle est recroquevillée comme un fœtus, les jambes en chien de fusil.
Prévoyant, je sors un paquet de mouchoir papier et m’accroupis près d’elle.
Piteux, j’essuie quelques coulées grasses sur son visage.
Telle une chatte, elle se tourne lentement sur le dos, ses bras haut au dessus de sa tête, les feuilles mortes collant à son corps souillé. Elle ondule lentement dans l’humus, orne ses joues d’un rose magnifique et d’une voix tendre et veloutée...
« Prenez-moi, Jean ! Prenez-moi ! »
Comment résister à si belle invitation.
Je libère mon sexe devenu à l’étroit dans mon caleçon, et couvre le corps de Sherazade, sans tenir compte des témoignages de gratitudes que lui ont laissé les hommes.
Elle prend mon visage à deux mains et m’embrasse avec une fougue prodigieuse.
Mon membre pénètre un orifice sans pouvoir déterminer celui des deux, tant elle est dégoulinante et graissée de semences gluantes.
Cette expérience, nouvelle pour moi, m’emporte sur un nuage. Je n’ai pas l’impression de lui donner quelque chose, mais plutôt de partager ce qu’elle a vécu cette après midi.
Je m’arcboute sur mes bras pour libérer mon trop plein d’amour. Elle m’accompagne dans le mouvement en appuyant sur mes reins pour que je m’enfonce loin en ...
... elle.
« Ouiiii ! Donnez-moi tout ! Donnez-moi encoreee ! Haaaaa ! »
Je m’effondre sur elle, repus de plaisirs.
« Humm ! J’arrive trop tard ? »
Je sursaute. Un homme est debout près de nous, sexe à la main.
Je me relève doucement en constatant les dégâts sur mes vêtements.
« Oui, je suis désolé, nous avons fini pour aujourd’hui. »
Mais déjà Sherazade est à genoux et engouffre le membre vigoureux au fond de sa gorge.
Je contemple cette fille insatiable qui bien qu’épuisée trouve encore et encore de la ressource et du plaisir à aimer sucer. Vider, l’homme s’en va.
Tout en l’aidant à se relever, je ne peux m’empêcher de la questionner.
« Tu a les larmes aux yeux, pourquoi ? C’était trop ? Tu pense avoir été trop abusée ?»
« Non, non ! Ce n’est pas cela du tout. Je ne peux pas contenir mes larmes. C’est un drôle de sentiment. Comme si je n’avais pas été au bout de quelque chose. »
J’ai du mal à comprendre et je ne lui ferais pas croire le contraire.
Je lui tends un mouchoir. Rougissante une fois de plus :
« Non ! J’aimerais rester ainsi. »
Elle prend son manteau et l’enfile sans se soucier des salissures sur son corps.
Je garde le mouchoir pour moi et frotte pour tenter d’enlever ce qui peut l’être.
Elle éclate de rire.
Comme des gamins, je lui coure après.
« Tu vas voir toi si je t’att**** ! »
L’instant d’après, elle est dans mes bras et je m’abandonne à ses baisers fougueux.
Nous repartons vers mon véhicule, là bas, ...