1. Christine


    Datte: 07/08/2021, Catégories: fh, jeunes, voisins, copains, bain, forêt, campagne, noculotte, Oral fsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... est menue, ses tétons sont très proéminents, durs, hypersensibles. Elle m’encourage à les lui mordiller, à les aspirer, les sucer, et n’hésite pas à me rassurer en me disant que c’est très bien.
    
    Ce faisant, elle effectue de petits va-et-vient qui lentement l’empalent sur ma queue. Tous mes récepteurs captent la multitude de sensations nouvelles, comme sa toison frottant de temps à autre contre mon ventre, ou la vue de nos sexes s’emboîtant, de sa vulve écartelée d’où son clitoris émerge. Je vis mon rêve, je suis divinement bien.
    
    Elle sourit, ferme les yeux, se mord les lèvres, des gouttes de sueur perlent sur son front, je suis le plus heureux et le plus chanceux des hommes. Mes doigts agrippent ses fesses en se plaçant presque dans sa raie, et mes reins ondulent timidement pour venir à sa rencontre. Je sens tout son vagin me comprimer la verge avec une douceur jusque-là inconnue, insoupçonnée.
    
    — Oh oui, que c’est bon, je te sens immense en moi. Oh, tu es grand, j’adore !
    
    Je sens clairement le fond de son écrin frotter le bout de mon nœud, et comprends que nous n’irons pas beaucoup plus profond, je crains lui faire mal. Mais Chris se déhanche, à la recherche de notre plaisir, et ne semble pas vraiment souffrir !
    
    — Hummmm que c’est bon… tu es bien ? Parle-moi, bouge en moi. Oui, comme ça. Encore, oh ouiiii.
    
    Son souffle est court, le mien s’accélère aussi, des frissons parcourent nos corps alors que je commence à m’animer en elle. Parler ? Je ne suis pas à ...
    ... même de dire quoi que ce soit, j’ai beaucoup d’autres priorités. Mais mon manque d’expérience ne l’empêche cependant pas de partir vers un superbe orgasme, m’implorant de jouir en elle, qu’elle veut me sentir. De toute façon, les dés étaient déjà jetés : je jouis en de longues giclées au fond de son corps, ses doigts lacérant mes pectoraux, les miens plantés dans son superbe fessier.
    
    Je me sens grandi, émancipé, immensément puissant, comme si mon sexe représentait les deux tiers de tout mon être, redessinant spontanément l’homoncule de Penfield ! J’admire son visage, ses lèvres qu’elle mord en exprimant son plaisir, ses cheveux dansant autour d’elle au rythme de notre jouissance.
    
    Rayonnante, éclatante, elle s’allonge sur moi et nous unissons nos bouches, nos langues, notre sueur, pleinement satisfaits de notre performance. Naturellement, je l’enlace tendrement, des bulles plein la tête. Mon cortex commence à tout analyser, décortiquer, mémoriser. Avant ? Avant, j’étais puceau. Mais ça, c’était avant.
    
    — Tu m’impressionnes beaucoup, tu sais ! me glisse-t-elle dans un souffle. Tu m’as vraiment donné un plaisir dingue. Tu as un zizi de compétition, je ne vais plus pouvoir m’en passer !
    — C’est encore plus agréable que je ne l’imaginais ! Mais je n’ai pas pu me retenir, je suis désolé.
    — Oh non ! C’était juste parfait ! Ne change rien, j’ai joui dès que tu étais en moi.
    
    Elle contracte son vagin autour de mon sexe, je lui réponds en faisant de même. L’endorphine se ...
«12...567...12»