1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (6)


    Datte: 07/08/2021, Catégories: Hétéro Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... à moi maintenant. Il ne peut plus se passer de mes seins, ma chatte, mon cul. Un jeune dieu hellène me fait l’amour ! Et l’inspiration ne me quitte plus. J’écris sans arrêt, si vite, tout s’enchaîne si clairement.
    
    Ce vieux con de Michel, je vais lui en boucher un coin. Il ne faut pas que je coupe complètement les ponts, son soutien me sera toujours utile. Mais je sais comment jouer avec lui. C’est lui qui va mendier mon attention, qui n’en pourra plus d’espérer mon cul… Il n’obtiendra rien ! Mais moi, j’obtiendrai tout. Tout ce qu’il m’a toujours fait miroiter, espérer. J’ai déjà payé. Six ans. J’y ai droit à présent !
    
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    25 JUILLET
    
    Je me réveille. Il est tôt, 6h00. Je sors sur la terrasse. Le soleil va bientôt surgir sur la mer. Il fait doux. Pas de vent. Je suis nue. Je vais aller à la crique. Adonis. Il me faut Adonis.
    
    Je descends sur le chemin. J’ai pris une robe, mais je la tiens à la main. Je marche nue dans la lumière matinale. Seule sur cette falaise, au milieu de la mer Egée. Je sens le souffle marin, à peine perceptible ce matin, par tous les pores de mon corps. Sur mon dos, mes fesses, entre mes jambes, sur mon ventre et mes seins, mon visage... J’avance nue vers mon homme, mon pêcheur, mon sculpteur d’amour sauvage… Il sera là, c’est sûr, il va venir…
    
    Je suis allongée, yeux clos, dos contre le rocher de marbre. Offerte. Je suis descendue, nue contre la falaise, j’ai plongé, j’ai nagé… Je l’attends.
    
    Je l’ai entendu. Il relève ses ...
    ... filets. J’écarte les jambes vers le large, vers lui, là-bas sur son rocher. Un plongeon… Je souris.
    
    Je crie. Je crie. Il a surgi d’un coup. Sa bouche sur mes lèvres, sa tête entre mes jambes, sa langue, tour à tour furieuse et câline, curieuse et timide, qui fouraille entre mes chairs, parcourt mes sillons, s’enfonce dans ma conque ruisselante de désir… Sa bouche, son nez, son visage entier… Je l’engloutis dans mon con. Ce n’est rien, l’apnée, il maîtrise. Il explore mon monde sous-marin, titille mes anémones coquines, mes doux rochers vibratiles, et se laisse submerger par mes vagues utérines… Il est là. A moi. Je me donne. Je crie. Je crie.
    
    Elle est là. Sur la falaise, au même endroit que l’autre jour. Elle nous regarde, elle nous entend sûrement aussi. C’est bien petite ! Regarde. Mate. Mate mon bel étalon marin qui me saillit ! Moi, moi !
    
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    26 JUILLET
    
    Qui est-elle, cette fille ? Elle était encore là ce matin quand il me prenait au fond de notre crique. Adonis ne l’a pas remarquée, ou en tout cas il n’en montre rien. Je ne lui ai rien dit. Je m’en fous. Ou plutôt non. J’aime qu’elle soit là. Elle le connaît sans doute, ça ne peut pas être une touriste, il y en a si peu de ce côté de l’île, et à cette heure… Elle l’a donc reconnu. Elle le surveille ? Une sœur, une cousine, une amie, une amoureuse ? Je sais si peu de lui. Nos échanges se limitent aux questions de ravitaillement, et pour le reste nous nous passons bien de paroles… Il me dit parfois ...
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