1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (6)


    Datte: 07/08/2021, Catégories: Hétéro Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... des miens. J’approche mes mains de son bermuda. J’ouvre. J’abaisse. Je dénude. Son sexe est face à moi. A demi bandé. Son beau sexe au creux de sa toison noire. Je m’approche. Je sens son odeur puissante. Mes mains se posent sur ses hanches. Je l’attire vers moi. Je caresse ses fesses nues. Douces. Fortes. Musclées. Je m’y enfonce. Je les pétris. Son sexe se gonfle. Il touche presque mon visage. J’approche mes lèvres. Je l’embrasse. Doucement. Abondamment. Des petits baisers, tout du long. Je descends. Je me plonge dans sa toison. Je la respire. Ma langue s’insinue, effleure son bas-ventre, son pénis, le pli de l’aine, ses testicules… Je lèche ses bourses. Avidement. Il passe ses mains dans mes cheveux. Il respire fort. Sa verge est tendue, gonflée. Il aime ça. Je le lèche, je le mange. Ses belles couilles emplissent ma bouche. Il gémit doucement. Il me tient. J’aime. Je suis à lui, plongée entre ses jambes. Prisonnière. Adoratrice du sexe d’Adonis.
    
    Je le prends. En moi. Son gland dur, tendu, entre mes lèvres, sous ma langue. Je le tiens. Il réagit. Je sens les frissons de son corps, ses soupirs, ses gémissements… Je le manœuvre. Je sais y faire. J’avance. Je lèche, je suce, je retiens, je reprends, je progresse, il s’enfonce… Il est mien. Là, toute sa belle queue, en moi, dans ma bouche, dans ma gorge… Il me presse contre son bas-ventre, me tient la tête, fouille ma chevelure, griffe mon crâne, mais je sens ses jambes qui flageolent, son corps, son être tout entier ...
    ... qui m’attend, qui me demande, à la merci de ma langue et de mes lèvres… Toute sa bite est en moi. Mes lèvres pressent, ma langue caresse, je suce, je vais et viens… Je le sens venir. Le goût du sperme. Ses fesses qui se tendent. Son corps arqué. Sa décharge. Puissante. Son jet qui me remplit. Je déglutis. Il se retire lentement…
    
    Nous sommes nus tous les deux. Etendus sur le lit. Silencieux. Fourbus. Nous nous sommes embrassés. Mangés. Léchés. Il a dévoré mes seins, mon ventre, mes cuisses. Puis il m’a pénétrée. Furieusement. Il m’a écartelée. Pilonnée. Violemment. Longtemps. De plus en plus fort, de plus en plus loin. Son sexe m’a transpercé. Son bas-ventre contre ma chatte, mon bouton en extase. J’ai crié, hurlé. J’ai joui. J’ai éclaté. Il est près de moi. Il va partir. Comme toujours.
    
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    21 JUILLET
    
    Je nage. Il est sept heures. Je suis nue et je l’attends. Sa mère ne rentre que demain. Il va venir…
    
    L’eau passe sur la peau nue de mon entrejambe, encore irritée par le feu de la lame du rasoir… Je suis entièrement épilée. Ça ne m’est plus arrivé depuis des années. Cette sensation d’être encore plus nue. Je n’ai jamais vraiment aimé ça. Impression de renier ma féminité mature, de trop sacrifier aux canons du moment, de refuser notre part d’animalité… Et pourtant… Hier, je l’ai fait. Devant lui. Pour lui. Pour qu’il me regarde. Encore. Toujours. Qu’il ne puisse plus se détacher, et qu’il n’oublie jamais mon sexe… Personne ne l’a jamais autant regardé, ...
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