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Mariés pour le meilleur (5)
Datte: 06/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Impératrice Ariane, Source: Xstory
... amitié ! — Heu oui. » C’est un peu circonspect que je la serre dans mes bras. Elle est si moelleuse que je pourrais la serrer contre moi plus longtemps. J’ai la tête baissée et je la regarde dans les yeux. C’est à ce moment où je baisse ma garde. Sa main vient délicatement toucher ma joue pour ensuite s’emmêler dans mes cheveux attirants mes lèvres aux siennes. Nos langues s’entremêlent follement. Ma main descend jusqu’à ces fesses, je les saisis à pleine main, les massant sensuellement. Estelle me saisit par le cou collant m’emprisonnant dans ce baiser que je n’avais pas l’intention d’interrompre. Son autre main part à l’aventure sur mon corps. Elle caresse doucement mon torse et palpable mes fesses. Nous arrivons à son étage, les portes s’ouvrent et se referment sans que nous ne nous soyons décollés l’un de l’autre. Mes mains ont glissé en dessous du jean et de la culotte. J’y ai difficilement accès mais j’arrive à frotter un doigt contre son anus. D’habitude, je préfère masser le sexe de mes partenaires avant d’attaquer la porte de derrière, mais le jean est vraiment serré. Etonnamment ma partenaire ne s’en offusque pas alors je continue à la masser. Je la sens fondre sous mes caresses devenant incapable de prendre d’autres initiatives. Les portes s’ouvrent à mon étage et alors que mon pénis commençait à prendre son élan, la vue de Maëlle avec une mine énervée me fait débander direct. J’abandonne Estelle comme un mal propre pour courir après ma ...
... femme. « Excuse-moi chérie. — Dire que je t’avais fait part de mon sentiment à l’égard de cette fille ! — Je suis vraiment désolé ! — Tu n’aurais jamais dû tenter quelque chose avec elle sans mon accord ! — Oui trésor et j’en suis vraiment désolé. — Et dis-moi, lequel a commencé ce baiser ? — Nous sommes tous les deux fautifs. — Est-ce c’est elle ou toi qui l’a dragué ? — C’est elle ! J’ai même essayé de la rembarrer. Je lui ai demandé de prendre ses distances. — Oh oui et toi tu lui palpes le cul ! Quelle distance incroyable ! — Je suis désolé, je n’ai aucune excuse. — Dire que je t’avais préparé un cadeau. » Je la suis, elle allume la lumière dans notre chambre et retire la robe qu’elle avait enfilée. Elle a une magnifique nuisette tout en tendelle qui enveloppe ces seins et laissant légèrement entrevoir ces auréoles. Ces tétons pointent et elle ne porte aucune culotte car lorsqu’elle se tourne, je vois parfaitement son pubis et ses fesses nues. Elle ondule son corps, s’approche de moi, repousse mes mains alors que je tente de la caresser. Elle recule sensuelle et envoutante. A cette seconde, j’ai tout oublié tous les sujets dont nous devions parler : Estelle, Marie et Manuel. Je suis tellement obsédé par elle, alors ce n’est que lorsqu’elle s’allonge lascivement sur le lit que je remarque la présence de Marie. Elle est allongée sur le lit, les bras au-dessus de la tête, une jambe pliée qui dévoile toute son intimité malheureusement ...