Tante est si bien (jour 4)
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Mature,
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... vite oubliés. Alors je veux les vivre, jusqu’au bout profiter, sans penser, sans choisir, juste prendre, partager, jouir, en toute liberté…
- Tu as raison, et je suis dans ton chemin, je fais partie de ces vacances et veux les vivre aussi… Prends-moi contre cet arbre, il semble approprié…
Elle descend son short, l’ôte complétement suivi par la culotte, remonte son tee-shirt, sa poitrine jaillit, deux bombes incendiaires… Elle est nue dans la forêt, abrités par la verdure, à deux pas du chemin…
Sa chatte est retaillée, son pubis harmonieux, elle se penche vers moi, me suce la première…
Puis elle s’appuie à l’arbre et m’offre son fessier… Je pointe mon engin, dressé pour ce combat, elle écarte ses fesses, sa vulve est dilatée, j’y goûte avec ma langue, elle sursaute au contact, puis s’ouvre encore plus grand, je masturbe sa chatte, son anus, tout ensemble, elle se tord devant moi, se trémousse en cadence, feule son impatience, et puis gémit de plaisir lorsque je la prends….
Mon sexe l’a ouverte, pénètre sans à-coups, continue lentement, à déguster sa chatte, jusque profondément…
Je m’enfonce de nouveau et la prend plus sauvage, ses soupirs d’un instant se transforment en supplique…
- Oh oui, prends-moi encore, ton sexe est un dragon, il pénètre mon corps, et vient brûler mon ventre. Tu m’emplis davantage, tu sais quand t’arrêter ou devenir sauvage, attiser mon plaisir, sentir ma jouissance, la porter, la chérir, provoquer mon orgasme, et puis te libérer, ...
... en homme maintenant, à grands coups de tes reins, dans mon arrière-train…
Tu es un homme à femmes, on ne peut l’empêcher, je vais te partager, jusqu’à ce que tu repartes, tu seras le premier à avoir pris mon âme, en même temps que mes fesses, j’en rêve toutes les nuits, tu as ranimé ma flamme, j’aime me faire baiser, comme hier chez Marie, qu’importe alors le sexe qui me donne l’extase, c’est à toi que pense lorsque je jouis…
Pour jouir, j’ai joui, ça commence à couler, sans pudeur, elle me nettoie un peu, je passe aussi ma langue, depuis la source ouverte, jusqu’à moitié des cuisses, je la serre dans mes bras, prends ses seins dans mes mains, elle cherche un baiser, je fonds entre ses lèvres…
Les jambes écartées, appuyée dos contre l’arbre, elle est belle à pleurer, cette superbe mature. Elle a de quoi encore faire tourner les têtes d’hommes moins jeunes que moi, d’amantes enflammées, et ressentir encore ce plaisir sans limite, que le sexe génère, à la fin des ébats… Cette sensation étrange de flotter dans les airs, moment que la tendresse choisit pour arriver, lâcher nos papillons, se sentir différente, douce, féminine, se nicher dans ses bras, et rougir de honte en repensant aux scènes que l’on vient de vibrer…
De notre nudité, aux étreintes osées, mêlant nos vocalises, ces mots qui ont fusé, parfois si crus, des mots involontaires d’une femme excitée… On ne regrette rien, on se sent tellement femme, que ces mots puérils, lancinants, ou vulgaires, comme si de ...