1. EMILE et BEA 2. Promenons-nous dans les bois


    Datte: 05/08/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Emile, Source: Hds

    ... fougue ses lèvres pulpeuses. Emile besogne son clitoris et pénètre son vagin d’une langue gavée de salive. Ses deux mains écartèlent avec force ses fesses rondes au point d’en révéler d’autres avens. Ils ne tardent pas à exulter tour à tour et les deux corps se séparent ravis.
    
    Ils se ruent tous deux dans la rivière pour nettoyer leur peau souillée et s’installent confortablement. Après quelques minutes de repos, Bea, encore inassouvie, reprend sa position animale exhibant son postérieur à son partenaire qui ne demande pas mieux. L’index gauche humide d’Emile ne peut se retenir de s’insérer profondément dans son cul et le pouce correspondant dans son sexe qui ruisselle de cyprine. Son majeur droit lui excite le clitoris en de petits mouvements rapides. Bea recommence à vibrer sous la caresse. Ses bras fléchissent, sa tête et ses épaules touchent le sol. Elle reste ainsi, fesses en l’air, cuisses écartelées, secouée de spasmes et ravie de l’assaut qu’elle appelait de ses vœux. Emile finit par la prendre en levrette, ravi que les fesses de sa partenaire s’emboitent aussi exactement au creux de son bas ventre. Il s’agite doucement en elle avec délicatesse, puis la bouscule de plus en plus fermement lorsque leur excitation progresse. Elle aime cette position de soumission et se laisse emporter par son plaisir. Elle psalmodie de petits cris qui, mélangés aux ahanements de son partenaire, finiront par appeler tous ceux ...
    ... qui sont en manque d’amour à la curée. Que penser d’ailleurs de ces bruits de feuilles froissées dans les fourrés tout proches ?
    
    Sens aux aguets, elle est partagée entre le plaisir absolu de s’exhiber ainsi et de se donner tant à son partenaire qu’à cette magnifique nature qui l’environne. Elle se sent animale jusqu’au fond de ses organes béants, elle exulte de cette sensualité trop longtemps retenue, l’entrejambe et la bouche trempés de désir, sexe et cul dilatés. Lorsque les feuillages s’écartent et laissent paraître un colosse forestier à l’abondant poil noir de jais, quasi nu, uniquement vêtu d’un short minimaliste et de chaussures de sécurité, elle se replie sur elle-même et une crainte primitive accélère brutalement son rythme cardiaque. Elle est totalement séduite et le ressent en même temps comme une menace. Il lui paraît immense, beau comme un dieu et pourtant inquiétant. Emile ressent son désir, la rassure de mille caresses et l’oblige à cambrer son dos et à ériger à nouveau ses fesses écartées. Il lui maintient les mains et les épaules au sol. Il la soutient par les hanches, sexe et cul scandaleusement tendus vers l’inconnu. Le nouveau venu déboucle sa ceinture et laisse tomber son short dévoilant une fort belle queue en érection qui émerge de sa luxuriante toison. Bea ne peut se retenir de creuser encore son bas ventre et ses fesses, d’ouvrir les ultimes profondeurs de son être dans un réflexe bestial… 
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