COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (3/4)
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ma femme Aurélie s’est permis de me tromper avec un vieux bouc lubrique.
Ce qui est le plus grave à mes yeux, c’est qu’elle y a pris du plaisir au point d’accepter de devenir sa soumise.
Grâce à son ordinateur que j’ai piraté, j’intercepte ce vieux salop et je me glisse à sa place me faisant appeler Maître Sade.
Voulant l’humilier en l’obligeant à se massacrer la chatte avec ses doigts, j’obtiens tous l’inverse, même mieux, je découvre qu’elle est une femme fontaine.
Elle la fait, elle a réussi à trouver un motif pour que j’arrête de la baiser pendant trois mois, de ce fait acceptant d’être l’esclave sexuelle de Maître Sade.
Dès qu’elle a réussi à m’évincer de son sexe, je traîne volontairement dans le salon la sentant chaude bouillante.
Elle regarde la pendule comtoise qui marque l’heure approchante de 15 heures sans bien sûr que j’esquisse le moindre geste.
15 heures cinq, elle est verte, voyant son rendez-vous lui échapper.
Bien sûr, je suis maître du jeu qu’elle a déclenché en me cocufiant surtout sachant ce que fait Maître Sade.
Au quart, je crois qu’elle va exploser, une vraie pile électrique, elle commence à retourner les chaises sur la table de la salle à manger et va chercher un balai qu’elle passe plusieurs fois au même endroit.
• Allez, bouge-toi, tu vois bien que je fais le ménage va dans ton bureau.
• Attends, je finis mon livre, je dois avoir fini cette traduction d'ici à la fin du mois, il me reste quatre pages.
Bien sûr, ...
... je fais semblant de mettre des annotations dans la marge comme je le fais chaque fois que j’entame un travail de ce genre.
À l’a demi, je me lève vais aux toilettes, décidant enfin de m’engager dans l’escalier qui fait un angle pour rejoindre le palier caché à son regard, bien sûr, je redescends et vais dans la cuisine boire un verre d’eau avant de remonter.
J’ouvre et je referme sans entrer en claquant la porte pour qu’elle l’entende, je m’assieds sur la dernière marche pour observer ce qu’elle fait.
Elle semble attendre quelques minutes voir si je redressant et vais même jusqu’à écouter manquant de me voir, mais j’ai reculé dans l’ombre prestement, voyant le haut de sa tête quand elle va dans notre chambre.
Je redescends sans faire le moindre bruit, approchant de la porte qu’elle a fermée.
• Maître Sade êtes-vous là ?
Maître s’il vous plaît, c’est la faute d’Adrien, il restait dans notre salon.
J’entends qu’elle se mouche, elle doit pleurer, mon petit jeu est marrant pour moi, mais en même temps, je prends conscience qu’aucune porte de sortie ne nous permet d’avoir un nouveau rendez-vous, quand une idée me vient.
Je remonte, j’entre sans faire le moindre bruit, là, je prépare une lettre dont j’aurais besoin demain.
Je redescends pour souper un repas lugubre, car chaque fois que j’essaye de parler, elle me rabroue.
• Quel caractère, qu’est-ce que je t’ai fait ?
• Rien, c’est ma maladie qui me tracasse, je finis de ranger avant d’aller me ...