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Entre amis d'enfance (3)
Datte: 05/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Dr. Night, Source: Xstory
... contre son torse à lui et ma main droite enveloppait sa gorge. J’avais déjà pratiqué cette même position avec des conquêtes féminines. J’adorais cette sensation de contrôle qu’elle me procurait, comme un serpent s’enroulant autour d’une proie. D’habitude mon bras passait entre deux seins rebondis et mes doigts caressaient une gorge douce et gracieuse. Cette fois mon bras maîtrisait un torse dur et solide, et ma main s’opposait à une pomme d’Adam. La rigidité du corps masculin de Julien me donnait envie de le culbuter encore plus fort. Pour retarder de quelques minutes l’instant inévitable de mon explosion, je me mis à espacer mes coups de hanches tout en redoublant leur force. Je faisais sortir ma bite lentement pour ne laisser à l’intérieur de lui que mon gland puis je la lui enfonçais de nouveau d’un coup sec, ce qui faisait claquer bruyamment mes couilles contre ses fesses. Tout en continuant ce rythme, j’attrapai sa bite avec ma main gauche et je me mis à le branler frénétiquement. Nous n’allions pas tarder à jouir lui comme moi. La branlette le faisait poussé des longs cris de plaisir qui étaient comme cassés par chacun de mes coups de queue et qui reprenaient quand je la sortais. Moi qui d’habitude ne suis pas très sonore pendant l’acte, me limitant en général à des soupirs et quelques onomatopées, je fus emporté par le plaisir et nos cris finirent par se mélanger. Pour étouffer mes cris contre sa peau je plaquai mes dents contre son épaule sans toutefois le ...
... mordre. Julien jouit le premier, poussant un énorme râle de plaisir. Comme Emma était toujours en face de lui, quelques jets de sperme atterrirent sur son ventre, d’autres sur le lit entre ses jambes et les dernières gouttes dégoulinèrent sur ma main. Pendant son orgasme il serra les fesses ce qui m’eut presque achevé. Je réussis toutefois à me retenir encore quelques secondes, le temps qu’il finisse de gicler. À peine eut-il fini que je dégageai mon bras de son torse et lâchai sa queue. Je le laissai tomber sur le lit et je lui jouis sur le dos. Les jets n’étaient pas aussi puissants que ceux qui finirent dans le cul d’Emma mais je réussis néanmoins à former une longue traînée de foutre qui lui arrivait jusque dans le haut du dos. Je me laissai tomber sur le lit, épuisé et satisfait. — Rassurez-moi vous n’avez rien prévu de plus ?! Parce qu’à ce rythme je ne passerai pas la nuit ! leur balançai-je. Ils se mirent à rire. — Pareille ! Je suis morte. J’ai juste envie de dormir maintenant. — Content de savoir que même les nymphomanes ont leurs limites. ajouta Julien. Nos pulsions sexuelles avaient eu raison de nous pendant deux ou trois heures mais qu’allait-il se passer ensuite ? Regretterions-nous ? Y aurait-il une gêne après avoir vu nos amis dans un état comme celui-là ? Eh bien non. L’espèce de tension liée au fait de savoir si c’était une connerie, qui s’était créée au moment où Emma avait parlé de plan à trois, et qui s’était encore accentuée quand nous ...