1. À fleur de peau


    Datte: 04/08/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, pénétratio, extraconj, Auteur: Bichon_92, Source: Revebebe

    ... sourire en se tortillant sous la couette pour jeter un morceau de dentelle noir au pied du lit…
    
    Moi — Ce que j’en comprends, c’est que je n’aurais pas l’occasion de te l’enlever ce soir…
    
    Elle — Enlève ton pantalon et viens avec moi avant que je réalise ce que je viens de faire, rougit-elle.
    
    Quand je soulève la couette de mon côté pour me glisser à mon tour dans les draps, j’entraperçois un bout de son corps ; son débardeur qui s’arrête sur ses hanches dénudée. Nous ne parlons plus ; juste des regards, des sourires. Je grappille les centimètres qui nous séparent et ainsi réduit la distance entre nos lèvres.
    
    Plus je m’approche, et plus son regard est perçant. Elle fait alors le mouvement que j’attendais : sa tête se déplace légèrement vers l’avant, s’inclinant un peu pour permettre à ses lèvres de s’approcher des miennes. Quand ses yeux se ferment, mes lèvres viennent se poser sur les siennes ; un premier contact avant qu’elles ne se séparent pour mieux se recoller. Nos mains timides se trouvent et viennent se poser sur nos corps. Céleste se retourne et tend les mains vers la tête de lit pour éteindre la lumière des chevets ; seule un halo de lumière provenant du réverbère de la rue éclaire le plafond, créant une ambiance tamisée dans la chambre
    
    Enlevant l’élastique tenant ses cheveux, elle libère ses cheveux mi-longs et vient s’allonger d’une partie de son corps sur moi. Nos bouches se retrouvent et cette fois-ci je peux goûter à sa bouche, à sa langue, et à ...
    ... la chaleur de son corps. Sa main se pose naturellement sur mon torse et défait les seuls boutons encore attachés. C’est elle qui prend les initiatives en s’asseyant à califourchon sur moi, et en ôtant son débardeur devenu non-nécessaire. Sous mes yeux apparaissent des petits seins dans un écrin de dentelle noire ; la couette en arrière, mes mains remontent sur ses cuisses lascivement pour se poser sur ses hanches.
    
    Céleste, qui me paraissait pourtant si timide, si réservée, se transforme, pour mon plus grand plaisir, en une femme libérée et très à l’aise ; les mains dans son dos dégrafent son soutien-gorge et libèrent sa jolie poitrine.
    
    Elle — Laisse-moi faire… enfin si tu veux bien…
    
    Moi — Si t’insistes…
    
    Cédant à sa suggestion, je laisse Céleste prendre les devants. Son corps vient s’appuyer sur le mien et sa bouche se pose sur la mienne pour un court baiser. Ses bras vont chercher les miens et les amènent jusque sous ma tête pour lui laisser le champ libre.
    
    Sa bouche se repose sur mon corps et glisse le long de celui-ci ; d’abord dans mon cou où son souffle m’électrise, puis sur mon torse, mon ventre, avant de s’arrêter sur mon nombril où elle dépose un baiser mouillé.
    
    Elle — Ferme tes yeux…
    
    Moi — Pourquoi, j’aime te regarder.
    
    Elle — Allez, ferme-les, et ne fais que ressentir…
    
    Sur ces mots, je ferme mes yeux et, à l’instant où je le fais, ses mains s’emparent de mon boxer pour me le retirer. Remontant le long de mes jambes, les mains de Céleste me ...