L'histoire du prisonnier Max 03 - Histoires de Sexe

L'histoire du prisonnier Max 03

... mettre sa vengeance de coté pour le moment. Mais quelques jours après, elle réalisa alors qu'elle se touchait dans son lit qu'elle n'arrivait absolument pas à se donner du plaisir. Elle avait beau en avoir envie, son corps semblait lui dire que ses doigts n'étaient plus assez bien pour lui. Elle utilisa des sex-toys, sa main entière, mais rien n'y fit. Elle était dans un léger état d'excitation mais était incapable de se branler. Mécontente elle décida de dormir et de ne plus y penser. Le lendemain matin elle se leva, s'habilla et en mangeant son petit déjeuner elle se demanda qui elle allait voir aujourd'hui : le beauf de la cellule 14? La petite pucelle de la cellule 24? Le petit nouveau de la cellule 1?

Mais elle avait beau réfléchir ils lui semblaient maintenant fades et sans intérêt. Un morceau de biscotte tomba dans son bol de lait. Aurait-elle perdu son amour de la domination? Inquiète à cette idée, elle se leva de sa chaise et actionna la petite sonnette qu'on avait mis à sa disposition. Au bout de quelques instants un homme en lunettes et en costard cravate arriva. « Que puis-je pour vous, mademoiselle Miratsoviki? » Demanda professionnellement l'homme en se mettant au garde à vous. « Et bien j'aimerais, commença lentement Mira, vérifier quelque chose.».

« OH Ouiii maîtresse Mira,ouii!!! Traitez moi comme un chien, ouii,comme ça, comme çaaaa!!! ». L'homme était maintenant tout nu et dos au sol. Ses mains et ses cuisses étaient attachés ensembles et fixées ...

... sur son ventre, l'obligeant à relever ses fesses du sol. Il n'avait plus du tout l'air professionnel. Un masturbateur électrique entourait son pénis et faisait des vas et viens tandis que Mira, assise sur son lit et vêtue uniquement de longs gants de latex et de chaussures à talons inutilement longs, avait mis un talon dans son anus et le stimulait sans conviction. « Alors mon chien, tu veux que j'accélère la cadence? » Demanda-t-elle d'un air las et monocorde en enfonçant un peu plus son talon. « Oh oui je le veux, faites moi jouir maîtresse!! » Supplia l'homme en tortillant son cul. En posant son visage dans sa main d'un air déprimée, elle poussa à fond le bouton du sex-toy, le faisant éjaculer puissamment. En soupirant elle quitta la pièce et laissa derrière elle l'homme en train de gémir des mots incompréhensibles.

Alors qu'elle marchait dans les couloirs, elle croisa un soldat qui siffla en voyant arriver la femme nue. « Tu la fermes et tu vas nettoyer ma chambre, l'arrêta-t-elle alors que le soldat avait ouvert la bouche pour sortir quelques phrases bateaux, t'as qu'à suivre les gémissements pour la trouver ». Elle ne s'était même pas arrêté. Une fois arrivée à un balcon, l'endroit où elle venait à chaque fois qu'elle se sentait mal, elle se mit à réfléchir froidement.

Il lui avait tout pris ; sa dignité, son emprise sur lui, l'amour pour la domination, son premier orgasme, tout. Et elle savait qu'elle retournerait voir son prisonnier quoi qu'il arrive, la chaleur ...