Valérie se fait une nouvelle amie
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
ff,
inconnu,
Oral
69,
init,
initff,
Auteur: Love Doctor, Source: Revebebe
... amusée, et je ne savais ce qu’elle voulait en fait. Elle sourit, charmeuse et dit d’une voix douce :
— Allez… fermez les yeux, s’il vous plaît…
J’obéis et fermai les yeux, le cœur battant, me demandant où cela nous mènerait. Je sentis Julietta s’approcher si près que son parfum m’envahit les narines.« Elle sent bon… » je me suis dit juste avant que des lèvres se posent sur les miennes. Un moment interdite, je ne réagis pas et le contact fut si fugace que je me demandai s’il avait été réel. J’ouvris les yeux et vis Juliette presque collée à moi, un sourire tendre sur les lèvres.
— J’en avais envie, s’excusa-t-elle, faussement désolée.
Je ne répondis rien mais ne la giflai pas non plus. La jeune blonde prit cela pour une invite et se pencha à nouveau pour un baiser plus appuyé. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, ne cherchant pas à forcer le barrage, restant juste en contact en attendant que je cède.« Mon Dieu, que c’est doux… » fut ma première pensée. Les yeux fermés, le souffle rapide, j’entrouvris un instant mes lèvres. Julietta le sentit et sa langue tenta une approche que j’acceptai sans hésiter. Bien vite, nos langues jouèrent une danse nouvelle pour moi mais fort agréable. Le baiser s’éternisait, me rendant complètement offerte aux envies de ma nouvelle « amie ». Je sentis une de ses mains passer sous mon tee-shirt, remonter vers mon soutien-gorge. Je gémis en sentant ses doigts s’approcher de ma poitrine qui se dressa sous le tissu avant même qu’elle ne ...
... l’atteigne. Ils se faufilèrent, faisant encore se durcir davantage mes pointes si cela fût encore possible.
Je gémis en sentant Julietta empaumer mon sein avec une douceur infinie. J’avais l’impression que tout mon corps était relié à ce mamelon que son ongle agaçait avec art.
Sa langue avait pris possession de ma bouche et je ne contrôlais plus rien. Elle s’écarta légèrement pour glisser ses yeux dans les miens.
— Tu es belle, murmura-t-elle.
Je souris bêtement et laissai échapper un nouveau soupir de désir. J’étais à elle, et elle le savait, la coquine. Elle me fit glisser le tee-shirt par-dessus tête et je l’aidai pour vite reprendre notre baiser.
— Embrasse-moi, l’implorai-je.
Elle obtempéra et nos langues se retrouvèrent avec plaisir et passion. Je réagis aussitôt et sa main défit prestement mon soutien-gorge, libérant mes deux poires tendues de désir. Elle reprit sa caresse avec douceur, me faisant émettre des gémissements modulés par ses attentions sur mes pointes. J’étais trempée comme jamais et trouvai normal de sentir sa main libre défaire mon jeans. La fermeture ne fut pas un obstacle et ma culotte sage de femme mariée fut, elle, aussitôt l’objet de caresses expertes.
Ses doigts appuyaient là où j’aimais, comme si on se connaissait depuis toujours. Mon clitoris m’envoyait des ondes de chaleur à chaque caresse.
Mes gémissements se firent plus forts lorsque ma bouche fut libérée et que la sienne partit à la découverte de mes seins, d’abord du ...