1. Chap 39 : Quand festival rime avec anal


    Datte: 03/08/2021, Catégories: Anal Hardcore, Auteur: BreizhouXXX, Source: xHamster

    ... sodomie.
    
    Juliette ne tenant plus, je la pousse à se mettre à quatre, jambes serrées et tête dans le duvet. Maintenant que sa croupe est bien en l'air, mon côté dominant-voyeur refait surface. J'écarte ses deux hémisphères pour contempler son trou du cul béant. Cela m'excite horriblement. Je crache dedans avant d'y remettre ma queue afin de poursuivre la saillie anale.
    
    Placé au dessus d'elle, je la maintiens par les hanches tout en la martelant à grands coups de glaive. La belle blonde trépigne de plaisir.
    
    - Oh oui, oh c'est bon.
    
    Alors que je reste muet, concentré sur ma tâche, la voilà qui pose ses mains sur ses fesses pour les écartées au maximum. Je me fais une joie de l'enculer encore plus fort comprenant qu'elle adore ça. Et soudain elle part dans un orgasme tonitruant.
    
    - Oui, ouiii, ouiiiiiii, je jouiiiiis!!!!
    
    Je ralentis le rythme.
    
    - Non ne t'arrête pas, continue.
    
    Je m'amuse alors avec elle, je sors ma verge entièrement et la remets au fond. Je réitère cette action plusieurs fois et je regarde encore son trou ouvert et luisant.
    
    - Putain, j'adore ton cul, dis-je d'une voix bestiale avant de le fourrer à nouveau.
    
    Et là, je ne rigole plus, je la sodomise sans ménagement pour la faire jouir encore et mettre un point d'honneur à ma prestation car je sens que la fin est proche.
    
    Lorsque mon éjaculation arrive, Juliette n'a pas le temps de comprendre ce qu'il se passe. J'évacue son sphincter, je vire la capote et je me branle rapidement pour gicler sur sa rondelle et ses belles petites fesses.
    
    Après cette merveilleuse entrevue, Juliette est allée prévenir ses amis qu'elle passait le reste de la soirée avec moi. Nous sommes allés voir des concerts, nous avons bu quelques bières avec mes potes et nous avons dormi ensemble dans ma tente, pour une nuit torride. On s'est quitté le dimanche matin sur un fourire, je ne l'ai jamais revu non plus, mais elle au moins, m'a laissé son string en souvenir.
    
    Fin.
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