1. Première fois mutuelle (3)


    Datte: 02/08/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Zygzags, Source: Xstory

    ... bonne décision.
    
    — Avais-je choix ?
    
    — Non, mais ça aurait été dommage que je te refuse mon cul... en plus de perdre Gaëlle.
    
    — Émilie, t’es qu’une...
    
    — Oui je sais... une vraie salope.
    
    — J’aurais plutôt dit une garce !
    
    — Peu importe, change-toi on a un peu de route.
    
    — Me changer ?
    
    — Tu crois que je me suis habillée comme ça pour aller au Mac Do ?
    
    Émilie m’avait donné un costume et je le passais à l’arrière de la voiture. Puis je m’installais à l’avant et nous sommes partis vers le restaurant. Il y avait une bonne heure de route, heure durant laquelle Émilie jouait avec la fente de sa robe pour me donner des suées. Elle était très joueuse et son décolleté n’était pas en reste. « Oh la la ! Mais... tu bandes déjà pour moi ! Qu’est-ce que ça sera quand tu verras ce que j’ai sous ma robe ? » Au vu de la manière dont sa robe la moulait, elle devait avoir un string et je lui ai fait part de ma certitude. Émilie a souri. De temps à autre, elle posait sa main sur le haut de ma cuisse, effleurant mon érection du bout des ongles. C’était très agréable de se laisser séduire, mais dans le même temps, je culpabilisais beaucoup vis-à-vis de Gaëlle.
    
    Puis, alors que nous avions quitté la ville, Émilie se gara sur le côté de la route. « Ça me fait de la peine de te voir comme ça ! » Sans même me laisser réagir, elle se pencha sur moi et défit mon pantalon. J’ai passé la main dans son dos pour la caresser un peu car, bien que plein de culpabilité, je me ...
    ... délectais d’avance de ce qu’Émilie allait me faire. Je ne voyais pas, mais je sentais ses lèvres glisser le long de ma queue dresser d’envie pour elle. Et elle faisait monter cette envie en retardant le moment de me prendre dans sa bouche. Dans le même temps, elle me suppliait (façon de parler) de passer ma main dans son décolleté et de lui caresser les seins. Je ne me fis pas prier pour accéder à sa demande. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et j’avais donc un accès direct à sa généreuse poitrine. Mais Émilie continuait à se refuser, se contentant de simples coups de langue bien placés et plutôt agréables.
    
    Elle voulait certainement me faire céder et que je l’implore, chose que je mourrais d’envie de faire.
    
    A moins qu’elle ne veuille seulement me faire jouir de la sorte, chose hautement probable vu son expertise et son niveau de perversité. Émilie s’amusait à provoquer des montées de plaisir insoutenable avant de laisser retomber la pression, me tenant ainsi à sa merci. « Oh Émilie... c’est trop bon ! » J’espérais qu’en manifestant ouvertement ma satisfaction, elle me prenne d’elle-même dans sa bouche, peine perdue.
    
    — Tu as envie de plus ?
    
    — Oui... oui j’en ai envie.
    
    — Dis-le !
    
    — J’en ai envie.
    
    — Dis-le clairement. Dis ce que tu veux que je te fasse.
    
    Alors j’ai cédé aux délices de la mère de ma bien-aimée Gaëlle. « J’en ai envie, Émilie ! J’ai envie que tu me suces ! » Émilie s’est exécutée dans l’instant et j’en ai râlé de bonheur. Elle se débrouillait ...
«12...121314...21»