Suce moi sous la pluie ! - Histoires de Sexe

Suce moi sous la pluie !

Comme je l’ai toujours rappelé à l’occasion des quelques souvenirs racontés ici, je suis très exhibitionniste. Je l’ai toujours été. Depuis mon plus jeune âge. Et cela m’a valu quelques petites aventures sympathiques... dont certaines sont inracontables ici.

Devenu jeune adulte, je me suis marié avec une jolie fille qui, malheureusement, ne l’était pas beaucoup, exhibitionniste. Avec moi, oui, même pour poser en petite lingerie ou totalement nue pour mon appareil photo (et les laborantins qui allaient les développer), mais pas question de se montrer nue en dehors du cercle privé. Et moi qui allais courir nu en forêt et faisais des rencontres plus que sympathiques, je ne rêvais que d’une chose : y amener ma femme. Je n’y ai pas vraiment réussi mais ce que je vais raconter a été sympa tout de même.

En fait, c’était une femme à double visage. Quand nous faisions l’amour et que mes va-et-vient allaient l’amener au coït, elle devenait comme folle de désir. La plupart du temps, elle demeurait silencieuse, sa tête allant de droite à gauche de plus en plus vite au fur et à mesure que l’orgasme se formait. Mais une nuit, elle me cria :

- Ah, si tu avais plusieurs queues !

Je lui répondis, un peu surpris car je ne m’y attendais pas :

- Et pourquoi, Chérie ?

- Pour pouvoir te branler, te sucer et t’avoir en moi en même temps, haleta-t-elle !

Rien ne pouvait me faire plus plaisir et je ne pus que lui dire :

- C’est quand tu veux, ma belle ! tout en continuant à ...

... la besogner. On peut trouver un ou deux beaux garçons avec une belle bite...

- Oh oui !

Et son orgasme m’emporta, moi-aussi. Elle attrapa ma queue, encore toute dégoulinante de sperme et me la suça à fond, ce qui me fit lâcher des cris rauques. Nous fîmes l’amour trois fois cette nuit-là (ce qui n’arrivait vraiment pas souvent ; je suis bien équipé mais je ne suis pas un surhomme pour autant). Profitant de l’absence de nos deux filles qui étaient chez leurs grand-parents, nous avons fait un peu de bruit !

Je l’ai baisée assis sur une chaise. Elle montait et descendait sur ma bite pendant que ses seins – un beau 95 D – me fouettaient le visage. Et à chaque passage, j’avais l’impression que mon gland allait exploser ! Sexuellement parlant, nous nous entendions formidablement bien et savions nous respecter.

Le lendemain matin, nous étions dimanche, et en train de prendre notre petit déjeuner ensemble. Tout en lorgnant sur le décolleté de sa nuisette qui couvraient à peine 10 % de ses nichons, je lui rappelais, avec précaution, ce qu’elle m’avait plus ou moins demandé la nuit précédente. Elle reposa sa tasse de café, referma vite sa nuisette et me répondit en me regardant un peu sévèrement :

- Oui, eh bien, on verra. Mais pas pour l’instant, s’il te plaît !

On n’a rien vu finalement. Je me suis tu et je n’ai jamais osé lui rappeler son fantasme.

Le temps a passé. Un jour, nous avons reçu un couple d’amis qui est resté dormir chez nous. Nous leur avions laissé ...