1. Le corbeau en remet une couche...


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... plus sensibles. Je sentais dans ses gestes que ce n’était pas la première fois qu’elle l’exécutait. Ma femme piaillait de plus belle. Le vieux ne se priva pas d’aspirait le bourgeon dardé. Ma femme annonçait par des hoquets qu’elle était sur le chemin l’amenant à l’orgasme. Le vieux libertin interrompit ses coups de langue, pour se redresser et sortir sa queue de son pantalon.
    
    Un calibre brun foncé. Un beau calibre. Madame Durand se saisit de ma queue et la branla. Ma femme suivit les événements, intéressée. Je la sentais qu’elle poussait dans son corps, dans son ventre, pour ouvrir davantage ses orifices. Sans attendre le vieux empoigna les fesses de mon bien aimé. D’un seul coup avec un râle de bien-être, il la fourra dans le vagin dilaté. Qui engloutit l’intrus.
    
    Elle se laissa aller à pousser un pleurnichement. Elle balançait de voluptueux coups de croupe pour mieux s’embrocher sur la queue. Le type rentrait et sortait de la chatte béante qui contiendrait bien une bite de plus. Il pétrit les fesses qui palpitaient. Le vieux se retira. Sa verge luisante de mouille avait encore poussée. Madame Durand s’agenouilla à côté d’elle, caressa ses seins. Puis elle se pencha sur le ventre de ma femme et la saisit par les cuisses. Elle fit signe au vieux de l‘aider. Il prit ma femme derrière les genoux et appuya avec ses bras. Il la maintenait, cuisses largement écartées, reins en l’air, croupe exhibée. La chatte déployée. Les grandes lèvres ouvertes semblaient deux grosses ...
    ... limaces.
    
    Il amena sa queue entre les fesses de ma femme. Qui ne se priva pas de diriger la pénétration. Alors que les doigts de madame Durand guidaient la bite toute gluante sur la corolle mauve. Impatient le vieux donna un coup de reins. Aucune résistance. Le trou céda. Le pénis s’engouffra dans le fourreau. Aspiré, avalé par la gloutonnerie de ma femme. Le vieux laboura le cul. Introduisant sa queue n’importe comment. Utilisant plusieurs angles de perforation. Écartant au maximum les parois élastiques. Des bruits de ventouse coupaient la plainte continue, saccadée, de la sodomisée qui ouvrait de grands yeux de merlans frits. Le type reniflait avec délectation les effluves qui montaient du cul. Alors que ma femme haletait sans retenue. D’une voix méconnaissable. Secouait la tête comme une possédée. Se pinçait les mamelons à se faire mal.
    
    Comme par magie, Madame Durand sortit un double gode de nulle part. Elle s’empressa à fourrer dans la bouche de ma femme. Qui gloussait de façon grotesque. Elle fit coulisser le gode entre ses lèvres. Quand Madame Durand le lui reprit, le silicone brillé dans la lumière.
    
    Elle l’amena jusqu’à la fente de mon épouse, tendis que le second plus fin se nichait en place dans la raie profonde de son derrière. Elle l’enfonça dans son antre de quelques centimètres. Distendant à nouveau les parois élastiques. Puis madame Durand s’immobilisa, admirant son œuvre avant de placer l’autre bout au centre de l’orifice anal.
    
    Dans le cratère mauve ...