1. Soumise aux ordres de mon Maître (7)


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Soumise aux ordres de mon Maître.
    
    La maison close. Je passe enfin à la casserole.
    
    (Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
    
    Je baisse la tête, une petite larme de frustration, de déception, ..., une preuve de ma contrition? Un silence.
    
    Sa voix, qui fait vibrer mon être, vite, je le regarde:
    
    - Les filles, occupez-vous d’elle! Foutez la à poil et à vous trois faites la supplier de lui pardonner!
    
    Il se recule et s’installe confortablement dans un fauteuil à oreilles, les mains posées sur les accoudoirs, le dos droit et ses yeux qui m’observent. Est-ce un demi-sourire?
    
    Il a un langage souvent très cru, je ne sais pas si j’apprécie. Cela me perturbe mais me force à employer moi aussi des mots, des expressions que j’ai lus avec plaisir mais jamais usités.
    
    Mon corps devient un terrain de jeu pour les trois taupes, et moi, je ne le quitte pas des yeux, tout ce que je vais ressentir, je le lui offre.
    
    Je sens des mains le long de mes cuisses, des mains sur mes reins, des mains sur mes épaules. On me détache le soutien-gorge, les bas, mes boucles de chaussures. Un pied puis l’autre, plus de chaussure, un bras puis l’autre et mes seins qui pointent, brûlés par son regard qui me caresse, je sens deux mains sur mes hanches et mon string descend en même temps que mes deux bas. Elles sont efficaces.
    
    Et commence leur jeu, je sens des bouches, qui me lèchent ...
    ... les seins, les mordillent (Hummmm ! J’adore), une autre bouche est sur mes lèvres vaginales, la pointe de la langue a trouvé mon clitoris, des mains et une autre bouche descendent le long de ma colonne pour s’attarder sur mes fesses, quelques coups de dents.
    
    Je gémis, je ne le quitte toujours pas des yeux. Je ne sais pas qui est qui, mais les trois sont très fortes, elles connaissent le corps d’une femme, les endroits sensibles, je coule. Il ne bouge pas.
    
    Je gémis plus fort, me tortille, je sens deux doigts en moi, une bouche qui continue ses caresses sur mon bouton.
    
    Mes seins sont humides, gonflés, les tétons irrités, je pourrais jouir de mes seins, j’ai un doigt qui force mon anneau. Je gémis, j’ondule, je sens une montée, la boule de feu qui se forme dans mon ventre.
    
    Mon ventre si vide, mon ventre qui te veut. Ton regard balaye mon corps mais revient à mes yeux puis tu te lèves, je te suis du regard, tu tournes autour de moi, je me contorsionne en gémissant.
    
    Mais tu restes à deux mètres, comme pour garder une vue d’ensemble. Je brûle, je coule, je te veux. Je ne vais bientôt plus pouvoir maîtriser la montée puissante, le raz de marée qui s’annonce.
    
    Elles ne sont pas là, elles ne comptent pas, c’est bien toi à travers elles qui me donnes tout ce plaisir.
    
    Patriiick ! Je vais craquer ! On entend mes gémissements, des mots me viennent en tête "s’il te plait, pitié, encore, plus loin, plus fort, mordez-moi ! Pincez-moi ! Patrick, Patrick, Patrick !"
    
    Mais ...
«123»