Les débuts d'une grande aventure (1) - Histoires de Sexe

Les débuts d'une grande aventure (1)

... laisse pas indifférent si bien que ce petit coquin ne me pose plus de questions quelques minutes. Un grand blanc s’est installé. J’aimerais lui sauter dessus et prendre sa queue, mais la raison, aussi faible soit-elle, m’en empêche. Il arrive à détacher son regard et voit que j’ai bien remarqué que non seulement il désirait ma queue, mais qu’il bandait certainement autant que moi. Je romps alors ce silence aussi bien pesant qu’enivrant.

— Tout va bien, Monsieur ?

— Oui, excuse-moi, j’étais dans mes pensées.

— Je comprends tout à fait, vous devez en voir des candidats pour le poste, ça ne doit pas être facile.

— Ça dépend, je peux tomber des fois sur des personnes avec un fort potentiel, mais je dois avouer que tu m’intrigues et je pense que tu pourrais vraiment intégrer mon équipe.

— J’en serai très heureux, le peu que j’en sais et de ce que je vois, l’équipe semble être très ouverte d’esprit.

— Je peux te le confirmer. Je n’ai plus de questions particulières, tout me semble bien de mon côté, je vais faire un point avec les autres collaborateurs et reviens vers toi dès que je peux te donner une réponse. As-tu des questions ?

Une seule question me vient en tête : Pourrais-je je le revoir ?

— Non je n’en ai pas particulièrement, mais si je viens à en avoir, pourrais-je avoir votre numéro. C’est plus facile que les mails pour échanger et avoir des réponses.

— Oui, bien sûr, voici ma carte, n’hésite surtout pas, il s’agit de mon numéro privé. Sache ...

... juste que le soir, j’évite de me consacrer au boulot quand je suis avec ma femme. Mais la journée, je suis tout disposé.

Nous nous levons donc et passe devant comme à l’aller pour repartir de la salle. Voulant laisser une dernière trace de mon passage, je laisse échapper un stylo et suis donc obligé de m’abaisser pour le récupérer. Tout en me baissant, je décide de me cambrer et de lui montrer mon petit cul, ferme que j’entretiens. Le coquin n’en peut plus et je sens son regard se poser sur ma croupe. En remontant, je tourne la tête pour voir son regard fuir rapidement, mais son regard m’intéresse peu. Sa queue quant à elle semble avoir apprécié mon manège, car une fois de plus, une belle bosse forme son pantalon. Je suis alors entièrement satisfait de moi et me dis que même si je n’ai pas le poste, je sais que je peux être désiré par des hommes et que je ne les laisse pas indifférents.

Arrivés en bas, nous nous serrons la main pour nous dire au revoir.

— Merci beaucoup pour l’entretien, j’attends de vos nouvelles.

— Merci à toi, j’ai apprécié et je pense que tu auras des nouvelles rapidement. En tout cas, je me souviendrai de toi et suis certain que nous pourrons faire plein de choses toi et moi.

Je repars alors satisfait dans l’espoir d’être pris.

Après deux jours, je n’ai toujours pas de nouvelles, mais il est dans ma tête, nuit et jour. Je pense à notre échange, je pense à son regard posé sur ma bite, à sa verge bien grosse qui voulait de ma bouche. Je ...