1. Une nuit avec Aurore


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... devinais son petit vrombissement agaçant dans l’obscurité. Et une sirène de police, au loin dans la ville, qui finit par disparaître.
    
    Puis Aurore a dit :
    
    « Ça t’embête si je me branle avant de dormir ? »
    
    Quelques secondes plus tard, elle s’est mise à remuer sous le drap, puis à gémir. Son genou gauche a même heurté ma cuisse lorsqu’elle a écarté ses jambes, ainsi que son coude, un peu plus tard.
    
    Elle soupirait, puis elle disait :
    
    « Oh, oui… oui… oui… »
    
    Et moi, je suis resté pendant un bon moment à bander comme un con dans mon boxer, immobile, tandis qu’Aurore s’agitait de plus en plus à mes côtés en disant :
    
    « Oui, putain… oui… oh oui… »
    
    Je l’ai laissée faire pendant deux ou trois minutes, sans faire un geste. Je n’osais pas, parce que c’était la nana d’un pote et que je ne la connaissais pas plus que ça.
    
    Mais j’ai fini par craquer : j’ai baissé mon caleçon à mi-cuisses, puis je me suis mis à me branler.
    
    Aurore s’en est vite rendue compte.
    
    Sa main est venue toucher la mienne, tandis que j’avais saisi ma queue. Son genou était toujours en contact avec ma cuisse et nos coudes se cognaient par moments au travers de nos mouvements.
    
    Puis le bout d’un doigt a effleuré mon gland.
    
    Et Aurore m’a dit :
    
    « J’aime bien me faire jouir avec une bite dans la bouche. »
    
    Elle n’a pas attendu ma réponse pour plonger sous le drap et gober mon gland pour l’engloutir, sans cesser de se branler. Et j’en ai alors profité pour lui tripoter un nichon. Ma ...
    ... queue était raide.
    
    Un nichon, puis sa hanche nue qui remuait.
    
    Sa hanche, puis l’arrondi d’une fesse que j’ai caressé longuement avant de me décider à laisser glisser mon doigt vers l’anus d’Aurore, puis au bord de ses lèvres qui étaient trempées.
    
    Pendant ce temps, sa langue s’enroulait tantôt autour de la base de mon gland, tantôt le long de sa fente. Il était gonflé à mort. Et moi j’étais en train de toucher les doigts d’Aurore qui étaient enfouis dans sa chatte. Je la branlais pendant qu’elle se branlait, ce qui faisait au moins quatre doigts qui s’agitaient dans sa moule. Mais je revenais à son anus, régulièrement, pour y glisser le bout de mon index que je suçais ensuite, avant de le remettre dans sa chatte.
    
    Puis, d’un seul coup, elle a abandonné mon gland et m’a enjambé. Elle a collé son ventre contre le mien, puis je l’ai sentie guider ma bite entre ses cuisses. Mon gland a glissé dans sa moule en l’espace d’un clin d’œil et, l’instant suivant, Aurore a plaqué sa bouche sur la mienne, assez longtemps, puis elle a dit :
    
    « On ne dira rien à Benjamin, d’accord ? »
    
    « Rien du tout, ai-je répondu en suffocant et en cramponnant de toutes mes forces les fesses d’Aurore. »
    
    Elle m’a de nouveau embrassé, puis elle a dit :
    
    « Il ne faudra pas lui dire que tu m’as sucé les tétons… »
    
    « Promis. »
    
    « Ni qu’on s’est roulé des pelles pendant que tu me bourrais la chatte en me masturbant l’anus. »
    
    « C’est promis, ai-je soupiré dans les à-coups. »
    
    Elle a ...