Super-X - Histoires de Sexe

Super-X

... a bien plus simple et efficace… Yvon ?

Un sourire de prédateur sur le visage, le garde pointa son pistolet vers mon front.

— Non ! Attendez ! intervint Léa. Monsieur, avant qu’on ne l’expédie ad patres, j’ai encore un petit compte à régler avec Tardivon.

Léa se leva et fit le tour du bureau. Me tenant par le menton, elle me fixait droit dans les yeux, avec une intensité minérale. Soudain, elle défit le zip de sa combinaison jusqu’au pubis, libérant d’un seul coup sa fabuleuse poitrine. Ses globes de chair focalisèrent aussitôt l’attention de l’assemblée. Sous son justaucorps de latex, elle était nue.

— Sympa notre petite séance, dans ton simulateur. Tu peux pas imaginer à quel point ça m’a fait mouiller de te sucer, en sachant que je t’envoyais au casse-pipe…

Joignant le geste à la parole, elle glissa lentement deux doigts dans sa chatte, qui ressortirent gluants de sécrétions. Les sbires du Min-Proc regardaient la scène avec des yeux exorbités, ne perdant pas une miette du show…

— Tu ne toucheras plus jamais une femme, Tardivon. Alors, pour que tu saches ce que tu rates avec moi, je vais te faire un petit cadeau.

Elle agita ses doigts devant mon visage.

— Ouvre ! Si tu mords, je te pète les dents.

J’entrouvrais les lèvres pour protester. Léa en profita pour forcer ma bouche, l’emplissant de sa fragrance odorante. J’aurais pu lui sectionner une phalange, mais je me rendis compte avec horreur que je ne pouvais m’empêcher de l’aimer, malgré ce ...

... torrent de haine. Je fermai les yeux, ravalant mon humiliation.

Elle retira ses doigts, les léchant à son tour. Puis elle fit lentement glisser sa combinaison et se retrouva bientôt nue au milieu de la pièce. Cette impudeur supplémentaire semblait lui procurer un plaisir divin. La bouche grande ouverte, le directeur et les deux militaires contemplaient ses formes parfaites, oubliant presque de respirer.

— Messieurs, je dois vous avouer que cette situation m’excite atrocement …

Un voile de luxure passa dans le regard de Léa quand elle se tourna vers Donnadieu.

— Aimeriez-vous montrer à ce giton comment on baise une vraie femme ?

Elle n’eut rien besoin d’ajouter. Aussi belle que provocante, cette femelle en rut foulait du pied toutes les conventions sociales liées à son rang de Mère… Elle n’allait pas être déçue ! Le directeur empoigna son talkie-walkie pour couiner une série d’ordres brefs.

— Coupez les caméras et les micros. Personne ne nous dérange pendant deux heures. Sous aucun prétexte !
— Crr… Mais, monsieur le dir…
— Bordel ! Vous avez entendu, faites ce que je vous dis !

Léa s’adossa à la table, face au big boss, attendant que les caméras s’éteignent. Elle s’assit alors sur le plateau de métal et se laissa glisser en arrière, s’appuyant sur les coudes. Puis elle remonta les genoux sur sa poitrine et, ouvrant les cuisses, elle exposa à tous sa chatte visiblement trempée. À la voir se comporter ainsi, je fus saisi malgré moi d’une excitation aussi ...