1. Un cocu heureux 12 - Vraiment heureux Fin


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... femme monte et descend, sa tête est tournée vers Léo. Le troisième larron passe à sa droite et réclame son dû. Le quatrième reprend des forces sur le canapé. Serge quitte la bouche, se tient la queue, passe derrière Mylène, s’avance entre les jambes de Gérard, vise l’anus et d’un seul élan s’enfonce jusqu’à la garde. Heureusement Léo étouffe avec sa verge le cri de détresse de ma malheureuse femme.
    
    -Va l’aider, délivre-la de ces salopards, me souffle Léa.
    
    - Pourquoi, tu veux prendre sa place ? Elle a fait des choix. J’ai autorisé, je n’ai ni ordonné ni forcé. Tu as entendu notre conversation. Elle s’est mise seule dans cette position. Elle gémit ? Mais ça lui plaît. Regarde elle se cambre pour faciliter la pénétration anale.
    
    Serge se vide dans l’intestin, fait signe à Léo. Ils échangent les orifices. Léo emploie ses pouces pour ouvrir le rond entre les fesses et Serge se fait nettoyer la verge dans la bouche, c’est écœurant, mais Mylène a sucé trop de queues ce soir, elle est frappée d’agueusie et accepte sans distinction tout ce qui se présente. Pour terminer Gérard lui fait accomplir un cent quatre-vingts degrés, soulève la croupe, laisse descendre, ouvre les fesses, pointe sur le petit trou: Mylène s’empale sur la trique verticale. Après quelques va-et-vient, Gérard attire à lui les cuisses, la renverse sur lui :
    
    - A qui le tour ?
    
    Serge s’y colle. Il s’introduit dans le vagin. Plantée sur le pieu de son amant, Mylène est pliée en deux, genoux sur les seins ...
    ... et sert d’enclume à Serge étonnamment vigoureux après autant de rapports. Enfin Léo lui succède.
    
    C’en est assez, je ne supporte plus de les voir s’acharner sur un pantin sans réaction.
    
    - Viens Léa, entrons. Moi présent ils n’oseront pas t’humilier.
    
    J’ouvre, j’entre. Mylène vient de s’envoyer la flèche du moustachu au fond de la gorge, toujours prise par les deux autres. Je m’avance de trois quarts. Le flash de mon appareil fixe pour l’éternité la composition des trois hommes et de ma femme besognée ou besognant. Je change d’angle, je double la photo, je m’applique à n’oublier ni les visages, ni les sexes, je mitraille. Ils sont surpris. Le retrait de l’un met en exergue toute la longueur d’un sexe, les cernes ou les poches sous les yeux
    
    -Jean, mon chéri, te voilà enfin. Nous t’attendions. Mais que fais-tu ? Pas de photo. Ah ! Non ! Je suis dépeignée.
    
    Je ris . Gérard gronde, Léo fuit dans la chambre. Le fatigué attrape son maillot et un tee shirt avant de se sauver. Les deux plus courageux me font face. Léa leur envoie une gifle.
    
    Je la croyais à l’agonie. Mylène est consciente :
    
    - Mon chéri, arrête. Léa, ils ne t’ont rien fait. Vous savez nous allons sur la plage, il y aura un feu de bois, des guitares, du vin chaud, des garçons et des filles, on chantera dans la nuit. Venez jouer avec nous.
    
    -Mais oui, ma femme chérie, nous allons chercher des vêtements chauds et nous vous suivons.
    
    Mon air pacifique les rassure. Mais mes paroles les confortent dans la ...