1. Rencontre improbable (5)


    Datte: 28/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SYL30, Source: Xstory

    ... confortablement pour les beaux jours d’été. A l’autre extrémité, un accès direct à une splendide piscine d’où, sur un petit rocher central, coulait en petites cascades silencieuses une eau pure et claire.
    
    Alors que mes pensées étaient envahies par tout ce luxe, elle est apparue, sublime, vêtue en toute simplicité, d’une jupe courte et d’un t-shirt aux couleurs jaune, fuchsia à fines bretelles. Hormis la forme des tétons dessinée sur le tissu, rien ne pouvait trahir l’absence de soutien-gorge, ses seins devaient être divins. Elle était pieds nus, les ongles joliment peints, un bracelet sur chaque cheville. Ses poignets délicats étaient, eux aussi, garnis de fins bracelets. Un petit collier fantaisie assorti à ses boucles d’oreilles. Pour tout maquillage, du rouge à lèvres qui illuminait son joli visage et pour finir, le bouquet final, son sourire de Madone. Tous les ingrédients visuels pour faire de moi son esclave, son ombre, sa chose et même plus, étaient réunis.
    
    Elle vint vers moi :
    
    — AH ! Je suis contente de pouvoir rencontrer celle que tu me cachais.
    
    Elle m’embrassa en posant délicatement ses bras sur mes épaules, les descend vers mes mains, caressant au passage mes bras, prit mes mains, fit un pas en arrière comme pour me contempler et me fit tourner sur moi même.
    
    — Mais, petite coquette, tu es magnifique !
    
    J’étais plus gênée que flattée.
    
    — Mais t’es trop mignonne, tu rougis ? dit-elle en riant.
    
    Puis me prenant par la main pour m’emmener à ...
    ... l’intérieur, me dit :
    
    — A partir de maintenant, finie Sylvie ou Sissy non ! Coquette, voilà un prénom qui te va à ravir. Qu’est-ce que tu en penses ?
    
    Devant mes hésitations et ma gêne, elle ajouta.
    
    — Bon, tu te détends maintenant, tu n’as rien à craindre de moi... Alors ?... Ton nouveau prénom te convient.
    
    — OU OUI, j’aime beaucoup Madame Coline.
    
    — Appelle-moi Madame, ça suffira... Madame Coline ça fait un peu mère maquerelle et maîtresse, c’est trop dur. Ne trouves-tu pas ?
    
    — Si Madame.
    
    Nous nous installâmes toutes les deux sur le canapé du salon. A peine assises, elle me demanda avec une infinie gentillesse d’aller chercher le plateau qu’elle avait préparé sur la table de la cuisine. Je revins avec le plateau sur lequel il y avait nécessaire pour le thé. Elle était assise le regard dans le lointain, pensive, les jambes croisées qui faisaient remonter sa jupe de quelques centimètres, ce qui accrocha mon regard quelques secondes, mais suffisamment pour qu’elle s’en rende compte. Elle rit :
    
    — Allez, coquine, pose ça là, et en tapotant l’endroit où elle voulait que je m’assoie :
    
    — Installe-toi près de moi.
    
    Je m’assois donc près d’elle avec toute la féminité dont je suis capable.
    
    Puis le thé servi, elle se rassoit très près de moi, nous étions cuisse contre cuisse. Je restais figée, ne sachant pas si je devais bouger ou rester.
    
    — N’aie pas peur, je ne vais pas te manger.
    
    Puis elle reprit tout en ayant une attitude très tactile. Elle me touchait ...