1. Trixie - Chap 9 - Une hotesse d'accueil parfa


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Sexe Interracial Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... fond de ma gorge, puis je la ressortais pour mieux l'avaler encore plus profondément... encore et encore... Il haletait comme un soufflet de forge, m'encourageait... me félicitait... son mandrin palpitait dans ma bouche, je m'excitais de plus en plus... mes mouvements de succions étaient de plus en plus rapides... je me masturbais d'une main... Il me malaxait les seins, avec force... Il allait sûrement jouir dans pas longtemps...
    
    « Trixie... je crois que votre bouche ne suffira pas... ! »
    
    Des pensées se bousculaient dans ma tête... Il n'est pas beau, vieux, grassouillet... mais il est noir, il a une bite énorme... et Boulier filme... je le laisse me baiser... oui petite Salope et tu vas aimer ça !! Et putain la prime... Il me releva, se mit derrière moi, sa grosse main noire, m'engloba le sexe, son majeur et son index pénétrèrent dans ma fente trempée. J'écartais les jambes pour faciliter ce doigter. Ndoumbé admirait mon dos qui se trouvait devant lui, il le léchait tendrement... il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l'arrière du porte-jarretelles.
    
    « C'est ravissant, en Afrique il n'y a pas ces dessous. Ça vous va très bien d'ailleurs. Cela met en valeur votre féminité... et ça m'excite beaucoup... »
    
    La partie en dentelle s'arrêtait juste à l'endroit ou partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissus, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la ...
    ... raie qui partageait mes fesses fermes. Il en approcha son énorme sexe noir et le glissa entre la peau et la bande de tissu, et le frotta voluptueusement le long de cette raie
    
    qui lui donnait sûrement des idées.
    
    Il me pencha sur la petite table, me demanda d'écarter les jambes, j'obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d'une main, il le passa entre mes jambes, je sentis le gland qui faire quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres trempées de ma chatte. Le bout à chaque passage s'attardait sur mon clitoris et le frottait doucement, me tirant des gémissements d'extase.
    
    Puis, il l'entra dans mes petites lèvres et attaqua l'entrée de mon vagin. Je cambrais les reins pour mieux le recevoir. Ma vulve, bien lubrifiée, pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l'on pouvait qualifier hors normes, n'eut pas trop de mal à accepter d'un seul coup la moitié du gros pénis noir. Il fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau couleur ébène. Il le retira presque entièrement et d'un coup de reins puissant enfonça son pieu entièrement. Je criais de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serraient fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetais de contentement.
    
    Toujours en moi, il se recula en m'entraînant et s'assit sur le banc de séparation du sas. Il me mit sur ses cuisses face à lui et m'empala de nouveau sans coup férir.
    
    Je ne sentais plus que cet énorme rouleau noir qui remontait le long de ma paroi ...