Leçons - Histoires de Sexe

Leçons

... L’approche en est un peu difficile, mais on découvre un véritable éden. Pourvus de plaids, les deux touristes se sont installés côte à côte. La mère languit de connaître les détails sur l’éducation de sa fille. Faisant la sourde oreille, Frédéric simule une grande fatigue et prend la position du dormeur. Déçue, elle se précipite sur lui et l’empêche de s’assoupir par des procédés licencieux. C’est ce qu’il espérait et attendait.

La main féminine a attaqué le point le plus sensible. Lui, a saisi les seins et ils se retrouvent unis pas un baiser. Tout cela dans le plus grand silence, comme s’ils ne voulaient pas que leurs ébats attirent l’attention. La jupe a été simplement remontée. Comme la fois précédente la chair est à nu au-dessous. Il se précipite sur ce bassin épanoui et l’honore avec la langue. Elle bascule, fait glisser la fermeture du jean et graisse l’outil qui va la perforer. Quand elle juge que l’affûtage est convenable, elle vient sur lui prendre le rôle de dominante. Il la laisse opérer, sachant qu’elle saura prendre les mesures nécessaires.

Si ce n’était la superposition de corps, rien ne laisserait supposer qu’il s’agit de deux amants en pleine folie sexuelle. La jupe rabattue sur les fesses, pas de bruit, peu de mouvements, ils se délectent en douceur. Et quand le plaisir éclate, un instant ils ne bougent pas, puis basculent, se séparant mais restant face à face. Un touriste les découvrant ne verrait qu’un couple chaste endormi.

Pourtant après un ...

... long moment de repos, Frédéric se déshabille et pénètre dans l’eau froide du ruisseau. La fraîcheur le surprend, mais il se nettoie tout de même consciencieusement. Catherine vient auprès de lui, soulève sa jupe que maintient son ami et se rince elle aussi. Ils retournent s’allonger et s’endorment.

— Eh bien, depuis deux heures que vous dormez, vous devez être reposés.
— Oh, Fanny, dit sa mère en ouvrant les yeux, nous nous sommes également mouillés, mais l’eau est vraiment trop froide pour se baigner.

Elle se redresse, époussetant et défroissant sa robe.

— Je suis venue doucement, espérant vous voir en train de faire l’amour, mais je vois que vous êtes restés sages.
— Qui te dit que nous avons été sages, tu n’en sais rien, intervient Frédéric.
— Oh, mais je vais le vérifier.

Et s’allongeant à côté de lui, de la main elle sollicite l’entrejambe de son amant. L’organe, ayant récupéré, réagit rapidement.

— Si vous aviez fait l’amour, il ne se dresserait pas aussi vite. Remarque, c’est dommage que tu ne l’aies pas essayé maman, tu verrais, il est formidable.
— Tu pourrais prendre notre avis tout de même, réagit Frédéric.
— Pourquoi, elle ne te plaît pas, ma mère ?
— Oh si, elle est très belle, mais je n’ai pas eu l’occasion de l’admirer, comme pour toi. Et tu ne veux pas tout de même que je lui demande de se mettre toute nue ! J’ai trop de respect pour elle.
— Mais elle le ferait volontiers, avec papa nous faisions du nudisme, et puis ici on ne risquerait pas ...