1. Leçons


    Datte: 28/07/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, campagne, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, initfh, nature, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... l’écrasant. Un ronronnement s’échappe de la bouche de la suppliciée. Ses deux mains viennent appuyer sur la tête de son tourmenteur. Elles la saisissent, et un long moment, la promènent, l’agitent, la compriment jusqu’à ce qu’éclate un gémissement de bonheur.
    
    Discret, conscient de sa victoire, il la laisse savourer son bonheur. Mais cela ne suffit pas à Fanny. Se redressant elle se dégage de son pantalon, arrache son polo, puis s’attaque au mâle, le dépouillant entièrement.
    
    — Viens vite me baiser, c’est trop bon.
    — Doucement ma petite, nous avons le temps.
    
    Allongé auprès d’elle, il entame le cycle complet des caresses, ne négligeant aucun point. Mais pour la femme, c’est trop long, elle veut sentir en elle la puissance de ce mâle. Sa main saisit le sexe, impressionnée par sa dimension et sa fermeté, elle le place elle-même au centre de son plaisir. Contraint mais heureux, Frédéric la laboure lentement. Elle lui saisit les hanches et impose une cadence plus rapide. Il obéit, et déclenche le feu d’artifice féminin. Pour lui, rien encore. Il reprend la manœuvre, étonnant sa maîtresse. Mais bientôt elle sent remonter en elle une soif de jouissance. Cette fois-ci, c’est l’homme qui impose son tempo. Alternativement il amplifie ou ralentit la cadence, se dégage ou reste un instant fiché en elle, se réglant sur les envies de sa partenaire. Mais il doit céder quand les jambes viennent se nouer dans son dos, les muscles pelviens se contractant pour lui tirer son suc. C’est ...
    ... un bonheur simultané.
    
    Allongés côte à côte, ils restent un moment silencieux. Elle tourne la tête vers lui et lui murmure à l’oreille.
    
    — Pour la première fois j’ai joui, je sais enfin ce qu’est le plaisir. Jusqu’à maintenant, je simulais, ne voulant pas passer pour frigide, mais quand je faisais l’amour, c’était un cadeau pour le garçon, quelquefois c’était une corvée. Tu es vraiment extraordinaire. Je t’en prie reste là, garde-moi dans tes bras cette nuit, je suis si bien.
    
    Ils se sont endormis enlacés. Réveillé par son bras engourdi, Frédéric n’ose pas se dégager de peur de déranger sa compagne. Cette nuit il a pris beaucoup de plaisir, mais moins qu’avec Catherine. Mais par ailleurs, il a ressenti un drôle de sentiment, une satisfaction d’avoir éveillé Fanny au plaisir. C’était le but recherché mais il ne s’attendait pas à éprouver une telle impression.
    
    Un soupir, un mouvement, Fanny s’éveille, Frédéric ferme les yeux, feignant le sommeil. Elle se dresse sur un coude, le regarde : son visage n’est pas vraiment beau, mais par contre, son corps, magnifique. Délicatement elle soulève le drap, l’écarte, son homme n’a pas bougé. Elle regarde la partie la plus intéressante pour elle. Le pénis au repos est tout recroquevillé, attendrissant, on croirait celui d’une statue antique. C’est tellement attirant, tentant, qu’elle tend le doigt et touche l’extrémité. Pas de réaction. Elle le saisit entre deux doigts, le place dans son autre main. Ce geste semble le tirer de sa ...
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