La Véranda Ch. 03
Datte: 28/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: byMaria_Del_Toboso, Source: Literotica
... le sens... Le mandrin de chair qui me vrille le fondement... Doux et dur. Elastique. Tiède. Je peux le serrer avec mon cul. Dès que je le tâte de cette façon, un cri bref et surpris claironne. Sa peau du dehors se glisse contre ma peau du dedans. Je sens sa vibration. Je m'accroche aux hanches de Sido pour ne pas défaillir, car il vient de porter l'estoc! Douceur indicible! Au fond de moi, la caresse la plus délicieuse! Il me flatte le fond du rectum, et ses couilles battent contre les miennes! Je défaille! Je me laisse tomber sur le dos de Sido, et Rupert qui me transperce me pousse au fond du con de Sido...
Au fond de Sido! Prisonnier de ce sandwich, j'étais incapable de remuer dans le con de la belle, mais, terrassé par derrière, la poussée de Rupert me maintenait retroussé, gros, enflé, bandé, et je percevais le renflement du col de Sido sur le plat de mon gland! Dès que j'éjaculerais, mon foutre rentrerait au fond de son ventre! Sans fuite! J'avais des sensations des deux côtés, et Sido se mettait maintenant à chanter gloria et confiteor du fond de l'oreiller! De fait, l'impossibilité dans laquelle je me trouvais d'aller et venir entre les reins de la belle n'avait que peu d'importance, car Rupert, qui prenait goût à mon cul, avait aménagé un passage commode, et c'est lui qui se mit à ahaner, à me pistonner consciencieusement, de toute la longueur, conséquente, de son chibre!
Ah! Cette sensation de toute cette longueur dans mon cul! A chaque retour, l'embrasement ...
... de tout mon fondement! Le gonflement, l'accroissement de la pression dans mon boyau! L'appui au centre de mon plaisir... répété... encore répété... et encore! Ah! Oui! Encore! Indiciblement! J'ose... Encule-moi, Rupert! Plus aucune douleur... Douceur et puissance du glissement, puissance et douceur de la prise, douceur de la chair tendre et tendue dans mon cul! Tendresse pour le bougre...
Ce mouvement m'envoyait par réaction appuyer davantage dans les entrailles de la belle, me retrousser encore plus dans son vagin, et cette pression la faisait exsuder sa cyprine, et cela produisait un clapotis grotesque qui s'accroissait de seconde en seconde, pendant que la belle chantait de plus en plus, en poussant des grands : - Oui! Oh! Oui! Oui! Ouuuuiiiiiiiiiiii! Plus! Encore! Ah!! Aha Aha Aha! Aaaaaahhhh!
Dans la liberté réduite qui m'était consentie, mon ventre et ma poitrine collés au dos de Sido, baignant dans la chaleur moite de son corps liquéfié par le plaisir, j'avais attrapé ses seins, que je malaxais, dont je pinçais les bouts, en les tirant, les étirant, et je jouissais moi aussi. Lorsque le gland de Rupert sortait de mon cul, puis rentrait à nouveau, j'en avais le souffle coupé, je me sentais exploser, hurler! A la baiser profond comme je la tenais, à lui martyriser sa petite perle fine toute gonflée de mon doigt têtu, Sido vibrait, se tétanisait sous notre poids, poussait son cul vers mes couilles pour se pénétrer encore mieux, se remplir, s'écarter, offrir tout son ...