1. Divine belle-soeur


    Datte: 27/07/2021, Catégories: f, h, fplusag, alliance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe

    ... sur mon érection, comme pour la masquer.
    
    — Oui, Françoise, excuse-moi, je n’ai pas pu m’en empêcher, tu es si belle dans cette robe…
    — Tu vas encore te caresser ce soir en pensant à moi, Éric ? Moi, je ne peux pas te toucher, je ne veux pas que nous allions plus loin, c’est impossible, mais j’ai tellement envie de ton corps contre le mien… Je vais me caresser dès que tu seras parti, en pensant à toi, Éric…
    — Françoise, je vais faire comme toi, rentrer à la maison tout de suite, me déshabiller et penser à toi, et me caresser pour toi !
    — Éric, oh Éric ! J’ai tellement envie de te sentir contre moi, que tu me serres dans tes bras… Mais c’est totalement impossible et je ne peux pas… Je vais aussi me… caresser… Mais… j’aimerais tant… te voir… avant… Je suis folle !
    — Que veux tu dire, Françoise ? Tu veux me voir ? Comment cela ? Moi aussi, Françoise, je rêve de te voir nue, je rêve de te voir retirer cette robe, je rêve de découvrir tes cuisses, ton ventre, ta poitrine….
    — Ce n’est pas ça, Éric, pour moi… Tu sais, les femmes sont un peu différentes de vous ! Je n’ai pas envie d’avoir des photos de toi pour me caresser, non… Pour ça, tout va bien ! Je voudrais…. je voudrais juste une fois… que tu me montres… tout ce que tu m’as raconté… Je voudrais… juste… juste te voir le sexe dans ta main, te caressant pour moi !
    
    Françoise avait l’air ébahie de sa propre audace, et me regardait avec un sourire à la fois complice, demandeur, un peu gêné, et le teint rougissant. Je ...
    ... voyais ses deux mains crispées sur l’étoffe de sa robe, sur ses cuisses…
    
    De mon côté, le souffle me manquait presque, tant ses derniers mots m’avaient scotché. Dans mes rêves les plus fous, et cela depuis très longtemps, j’avais imaginé mille fois que Françoise me surprenait en train de bien faire, et qu’elle me demandait de continuer pour elle. Mais j’avais à chaque fois évacué ces rêveries, en me disant que c’était totalement impossible et que, pour être excitant, un fantasme devait avoir une probabilité non nulle de pouvoir se réaliser.
    
    Et là, et là… plus de vingt ans après ces rêveries intimes, je me retrouvais assis en face d’elle, dans un état d’excitation évident qu’elle avait relevé, et elle me demandait… ce à quoi j’avais toujours rêvé !
    
    — Françoise… j’ai… j’ai toujours rêvé vivre cela avec toi. Je n’avais jamais osé penser que cela pourrait exister ! Mais… mais… tu veux que je me… là, ici, maintenant ?
    — Éric, tu sais, lors de notre conversation téléphonique, c’est exactement l’idée que j’ai suivie et qui m’a tant excitée, et c’est en pensant à cette situation que je me suis caressée.
    
    J’étais surexcité et à la fois terriblement gêné. Je ne savais pas du tout comment "passer à l’acte". Que devais je faire ? Me lever, me déshabiller, là, dans son salon ? Rester assis, ouvrir ma chemise, ouvrir mon pantalon ? Simplement défaire ma braguette ? Toutes ces solutions me semblaient impossibles, là, comme çà, dans le salon de mon frère…
    
    Je regardai Françoise, et ...
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