Divine belle-soeur
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
alliance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe
... aux formes pleines.
— Un peu de citron ? me dit elle soudain en relevant les yeux vers moi.
J’étais piégé, le regard fixé sur la peau nue de sa gorge et de sa poitrine, et elle l’avait bien vu.
— Euh… oui, s’il te plaît Françoise.
Elle tendit le bras vers moi pour me donner mon verre, et cette position m’offrit cette fois une vue complète sur ses seins qui remplissaient le soutien-gorge, l’étoffe de la robe ne me cachant plus rien… Françoise s’est redressée alors, croisant à nouveau ses jambes délicieuses. La robe s’arrêtait à la naissance de la cuisse, et j’avais un mal fou à ne pas laisser mon regard glisser en permanence sur la peau nue de ses mollets et chevilles.
Notre conversation reprit, et j’osai, tout doucement, écarter mes genoux jusqu’à ce qu’ils soient vraiment très ouverts, avec mes coudes posés dessus et mon buste penché en avant. Je savais que mon sexe devait se dessiner très visiblement sous le Jean’s le long de ma cuisse, et j’attendais avec impatience que Françoise laisse son regard glisser sur moi.
Ce fut génial…
J’ai vu son regard descendre furtivement vers mon entrejambe, comme les fois précédentes. Son visage a changé, je l’ai vu ciller et j’ai "senti" son regard dévier de ma braguette à ma cuisse, en suivant mon érection sous le tissu.
Elle a laissé sa phrase en suspens, et s’est donné une contenance en toussotant avec la main devant la bouche. Elle a décroisé puis recroisé ses jambes, et je la sentais très gênée, car son ...
... regard a fui le mien pendant quelques instants…
J’étais totalement indécis… Que faire ? J’étais surexcité, mais comment aller plus loin ? J’ai pris mon courage à deux mains et, la voix peu assurée :
— Françoise, tu te souviens… de notre conversation téléphonique ?
Elle m’a regardé en souriant, et j’ai vu son visage rougir incroyablement… Elle était tout aussi gênée que moi, mais visiblement se souvenait aussi bien que moi de nos échanges si troublants…
— Oui, Éric, je m’en souviens… Tes aveux d’adolescent !
Elle riait, mais je sentais qu’il n’y avait aucune moquerie dans son rire.
— Nous n’en avons jamais… reparlé, Françoise, mais je… j’y ai pensé très souvent !
Ouf, j’avais réussi à le dire…
Elle me regardait curieusement, et je voyais ses mains aux doigts fins glisser nerveusement sur l’étoffe de sa robe, sur ses cuisses.
— Oui, moi aussi, Eric, j’y ai beaucoup pensé… Mais je n’ai jamais voulu en reparler, car si jamais ton frère apprenait quoi que ce soit, ce serait un drame familial terrible.
— Mais… Françoise, il n’a rien à apprendre, puisque rien ne s’est passé !
Je m’enhardissais, et sa réponse me comblait d’excitation… Elle avait pensé à moi aussi, et vu le sujet de notre dialogue téléphonique, elle avait dû aussi penser à moi sur un plan sexuel !
— C’est vrai, Éric, mais quand même, tout ce que tu m’as raconté… Toutes les fois où tu m’as dit que tu détaillais mes jambes, mes formes, mes fesses, même lorsque nous étions dans le jardin en ...