1. Divine belle-soeur


    Datte: 27/07/2021, Catégories: f, h, fplusag, alliance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe

    ... es merveilleux ! Ne reste pas comme ça, enlève tes chaussures, retire tout, ton pantalon, ton slip, enlève tout !
    
    Je lâchai doucement mon sexe, et me redressai en la regardant. Je me penchai sur mes genoux, et commençai à défaire mes lacets. Mon visage était à la hauteur de l’assise de son canapé et en levant les yeux je découvris, émerveillé, que mes yeux étaient à l’aplomb de son bassin, de ses cuisses. Mon regard partit de son pied droit, posé bien à plat dans sa jolie ballerine, fit le tour, amoureusement, de sa cheville, remonta sur le mollet musclé, vint s’enrouler autour du genou, et puis reprit son ascension le long de sa cuisse. Je dépassai sa main fine qui bougeait doucement sur la peau nue de sa cuisse, et remontai encore. Dans un rêve, mais aussi avec le souffle court, j’atteignis l’étoffe légère, délicieusement blanche, de sa culotte.
    
    C’était une culotte toute simple, qui dessinait divinement le renflement de son sexe, et je dévorais du regard les doux plis de son aine. Son genou gauche s’ouvrait doucement, doucement… Françoise était là, devant moi, une jambe nue, l’autre ouverte désormais réellement, et j’étais plongé dans la contemplation de son entrejambe, sous l’étoffe légère de sa robe, désormais remontée très haut. C’était absolument dingue…
    
    Je défis mes lacets, fis glisser chaussures et chaussettes, puis retirai chaque jambe de mon Jean’s, emportant le caleçon également… Je me redressai, ça y était, j’étais entièrement nu, assis les fesses au ...
    ... bord du canapé, devant Françoise…
    
    Ses joues étaient rouges et je voyais sa poitrine gonfler l’étoffe de sa robe plus rapidement. Son regard rieur était brillant, et passait de mon visage à mon torse, de mon torse à mon ventre, de mon sexe à mes jambes nues.
    
    Elle tordit légèrement la jambe droite, et son pied nu sortit de la ballerine, doucement. Elle le reposa, à plat tout d’abord sur la moquette, puis je la vis contracter son pied, qui se cambra… Elle le tenait arqué sur ses orteils, et la vue de sa cheville ainsi tendue était terriblement érotique.
    
    — Éric, tu as une poitrine magnifique. Tu es encore si musclé ! Nous sommes complètement fous, Éric, complètement !
    — Françoise, tu as des jambes…. merveilleuses !
    
    Elle me regardait en souriant, d’un sourire captivant, enivrant.
    
    — Merci, Éric. C’est… de la musique pour mes oreilles, tu sais ?
    — Françoise, tu sais bien combien je rêve, combien j’ai toujours rêvé à tes jambes magnifiques !
    — Éric, Éric… alors regarde-les, elles sont pour toi aujourd’hui ! me dit-elle avec un sourire encore plus désarmant.
    
    Elle referma doucement son genou gauche, et laissa son pied glisser pour venir rejoindre l’autre, sur la moquette. Je ne perdais pas un seul de ses mouvements.
    
    Elle retira sa deuxième ballerine, et tendit ses deux jambes. Je vis les muscles divins de ses cuisses se tendre, dessinant des courbes tellement suggestives sous sa peau… Elle saisit l’étoffe de sa robe, qui était déjà très relevée et, sans hésitation, ...
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