Sacrée belle mère! J’en prends plein la bite - Histoires de Sexe

Sacrée belle mère! J’en prends plein la bite

... 65 ans. Pendant que je m’approche de ses tétons, elle enfonce à nouveau un doigt dans mes entrailles. Ca finit de me faire bander surtout quand elle empoigne ma queue pour me branler.

Je descends mes mains et soulève sa jambe gauche et la pose sur le tabouret que Nora a acheté pour les douches de son père. Je m’agenouille tout doucement pour faire ressortir son doigt délicatement et je me jette sur sa moule après l’avoir mieux observé.

Ses grandes lèvres pendent bien et les petites apparaissent à certains endroits, le tout est très brillant et pas seulement de l’eau qui coule sur nous. Je lape tout ça pour enfin la goûter, son élixir est délicieux. Je plonge ma langue dans sa chatte pour encore mieux la boire. Ma belle mère serre mes cheveux de deux mains et se met à gémir.

Après l’avoir longuement lécher, je me relève et la retourne, je pose ma main sur le bas de son dos pour la faire se cambrer. J’empoigne ma tige et je joue, du bout du gland avec l’entrée de sa grotte. Je m’apprête à m’enfoncer dans son con d’un coup sec quand, avant moi, elle recule et s’empale dans un fort râle.

Je l’attrape par la taille et la ramone ardemment. Elle mouille tellement que je glisse sans aucune difficulté. Je la lime a différents rythme pendant un long moment quand je sens ses muscles du plaisir se contracter. Je me déchaîne dans sa chatte sans aucune soucis d’éjaculation vu que je viens de me vider.

Pendant que je la baise bestialement, elle ondule du corps et enserre ...

... de plus belles ma queue. Ses cris sont de plus en plus aigus comme la veille quand les ouvriers l’ont fait jouir en double. Elle fait une série de mouvements effrénés qui bloque mon sexe dans le sien. J’ai l’impression que sa chatte va m’écraser mais j’adore ce qu’elle me fait. Je ponctue le tout de quelques fessées.

Quand elle commence a redescendre de son orgasme, je suis enfin libre de mes mouvements. Je la lime tendrement alors que Rose est appuyé contre les parois de la douche la respiration haletante. Elle me regarde fixement et me dit après avoir rempli, normalement, ses poumons:

« Maintenant on passe à l’autre trou. »

Je sors lentement de sa grotte dégoulinante et toujours dans la même position je cale mon gland, bien gonflé, dans sa raie. Avec une main j’écarte ses fesses alors que de l’autre je titille sa rondelle du bout de ma bite. Elle a besoin d’aucune préparation de se coller la non plus, elle me semble déjà bien ouverte.

Je la sodomise très lentement, sans rencontrer de difficulté. Quand mes couilles tapent ses lèvres intimes je m’immobilise un moment avant de la limer plutôt calmement. Alors que je vais et je viens elle pousse des petits cris, mélange de plaisir et de douleur, qui m’excitent encore plus.

Une fois que je sens le plaisir prendre le dessus j’accélère un peu la cadence. Evidement j’oublie pas de, régulièrement, gratifier ses fesses de petites claques qui la font rougir, du moins du derrière. Maintenant que j’ai un bon rythme, mes ...