La vidéo de la nuit de noce
Datte: 20/05/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
fête,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nostalgie,
Auteur: Lucien Ramier, Source: Revebebe
... y a un mois, de prêter la grande chambre de mon appartement pour leur première nuit de jeunes mariés. Mis à part les Gamonais, personne ne connaît mon domicile. Quand ils m’ont montré la cassette et que je t’ai reconnu, j’ai compris ce qu’ils avaient découvert. Et je n’ai pas pu résister à te revoir. J’ai répondu oui tout de suite à Estelle. Car je n’ai jamais cessé de penser à toi, Lucien.
Sans perdre une minute, nos lèvres se rejoignent. Enlacés tous les deux, elle m’entraîne dans sa jolie chambre qui jouxte celle des jeunes mariés.
— Ne perdons pas de temps. La vie est si courte, me dit ma compagne. Et, comme le dit la vieille chanson de la noce, « si l’on pouvait arrêter les aiguilles ».
Elle ajoute comme autrefois à Roanne.
— Je n’ai pas oublié moi non plus, Juliette. Je pense qu’ils nous ont bien eus nos neveux. Ils doivent bien rire du piège qu’ils nous ont tendu.
Ce disant, Juliette m’entraîne sur le lit déjà grand ouvert comme si elle m’attendait. Je reconnais, au pied du lit, sous l’écran du téléviseur, mon vieux magnétoscope, vieux compagnon de mes nuits d’hôtel, lors de mes voyages autrefois.
— Il y a quand même une preuve que tu ne m’avais pas oublié, dit mon ancienne amante.
Ce faisant, alors que je retire ma veste et qu’elle m’apparaît avec sa nuisette rose d’autrefois, elle télécommande le magnétoscope.
— Mets-toi à l’aise et viens t’asseoir près de moi sur le lit. Regarde Lucien comme nous étions heureux autrefois.
Je lui obéis, ...
... avec le plaisir de retrouver enfin une compagne dans mon lit. Nous gardons le silence pendant les premières minutes du petit film. Nous refaisons instinctivement les mêmes gestes d’il y a vingt ans.
— J’ai soif de sentir ta peau contre la mienne me dit-elle
Je découvre sous sa nuisette son beau corps de femme qui, certes, à pris quelques rides, mais qui n’a pas perdu de sa superbe.
— Comment ai-je pu t’oublier pendant si longtemps, Juliette ? Tu n’as pas changé.
— Allez, flatteur, regarde l’image sur l’écran et compare ? Insiste-t-elle.
Ce disant, je l’enlace à nouveau et nos corps se nouent à nouveau comme au bon vieux temps.
— En tout cas, Lucien, tu n’as pas perdu de ta vigueur.
Et sur ce, elle engloutit ma verge dans sa bouche comme autrefois. Je sens mon plaisir qui monte vite, pendant qu’elle me prodigue cette douce fellation. Elle est étonnée quand je repousse sa tête.
— Pas si vite Juliette, je vais jouir. Je n’ai plus d’entraînement, tu comprends.
C’est alors que je réalise le phantasme de tout à l’heure quand j’ai vu Stéphane plonger sous la robe de la mariée. Là, pas sous la robe, mais comme lors de ma propre nuit de noce, nus tous les deux, comme au premier jour de la vie, ma langue glisse sur cet abricot de chair. Je savoure longuement ce nid de sensations. Tous mes sens sont en éveil. Je ne suis pas le seul, car ma partenaire ne peut s’empêcher de s’agiter sous ma langue et mes mains qui la caressent. Son ventre se soulève et semble voler à ...