1. Lettre à Mademoiselle Sandy


    Datte: 26/07/2021, Catégories: grp, fête, humilié(e), Oral jeu, fouetfesse, lettre, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    Mademoiselle Sandy,
    
    Si je me permets de vous écrire ce jour, c’est d’abord et surtout pour vous présenter mes excuses. La soirée d’hier m’a laissé tellement de remords que je n’ai pu trouver le sommeil qu’à l’orée du jour. Je vous assure que je n’avais pas la moindre intention d’abuser de vous, ni de quiconque d’ailleurs. Pour que vous en soyez convaincue, je vais reprendre le fil de ce qu’il s’est réellement passé.
    
    Je suis arrivé avec Dany, un ami qui vous connaissait bien et qui s’est permis de m’inviter. Je ne connaissais personne en dehors de lui. Il m’a présenté à vous et à vos amies, Elodie et Charlotte. J’étais gauche avec mon bouquet de fleurs coupées et mes chocolats belges ; vous étiez droite dans votre robe-fourreau. Nous avons passé des heures extrêmement sympathiques à danser et je vous félicite pour le choix des musiques, aussi variées qu’entraînantes.
    
    Vers 22 heures, je m’apprêtais à prendre congé jugeant l’heure suffisamment avancée, quand Élodie a insisté pour que je reste ; il était question d’organiser des jeux. Je dois à la vérité de préciser que l’alcool coulait généreusement depuis la fin de l’après-midi. Vous avez évoqué la possibilité d’un poker. Et Dany a surenchéri en proposant un strip-poker. Souvenez-vous qu’à ce moment-là, lucide sur l’évolution fatale de la soirée, je me suis exclamé :
    
    — Est-ce bien raisonnable ? Mais ma voix fut couverte par les applaudissements de vos deux amies, pendant que vous ne laissiez rien transparaître de ...
    ... vos impressions en avalant brutalement une double vodka-orange.
    
    Nous nous sommes donc mis autour de la table. Dany, qui est excellent dans le maniement des cartes, a vite raflé les premières mises. De mon côté, j’avais du jeu (une paire) et vous les filles, vous vous êtes retrouvées torse-nu en quelques donnes. Il était encore temps d’éviter le pire et j’ai proposé qu’on en restât là. C’est alors que Charlotte a dit :
    
    — Mais pourquoi ? J’ai encore ma culotte !
    
    Elle l’a perdue au tour suivant et on pouvait craindre alors que cela ne dégénérât. Nous avons pensé que le jeu se terminait là, mais, manifestement prise de boissons, elle a insisté lourdement :
    
    — Mais pourquoi ? J’ai encore ma toison ! Elle l’a perdue au tour suivant et je n’ai pas suivi le mouvement général jusqu’à la salle de bain où tout le monde voulait s’improviser coiffeur pour dames.
    
    Nous sommes restés tous les deux. Je devrais dire tous les trois, car la bouteille de vodka ne vous quittait pas. Dépouillée de votre robe, vous portiez le string avec une certaine noblesse et vous m’avez dit avec beaucoup de délicatesse :
    
    — Je suis mouillée. Je ne sais pas si c’est la vodka renversée sur ma culotte ou si c’est humidifié de l’intérieur. Vous pourriez me dire ? Et vous m’avez tendu le dernier dessous qui vous couvrait encore.
    
    À vrai dire, j’étais bien embarrassé pour vous répondre, car il me semblait au premier abord qu’il y avait probablement un mélange des deux effluves. Mais tenir dans mes ...
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