1. Les vacances chez ma tante (1)


    Datte: 25/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sophia Nature, Source: Xstory

    ... nous que lorsqu’elle a tiré le drap tout doucement, pour voir ce qu’on faisait avec nos mains.
    
    J’ai paniqué quand nos yeux se sont croisés, car ça ne l’amusait pas du tout que sa copine la trompe avec sa cousine de cette façon. Avec ma main droite, je tentais de retirer celle de Sophie fichée entre mes cuisses. Mais celle-ci croyant me faire jouir, m’a enfoncé son majeur trempé de ma mouille à l’intérieur de mon anus. La douleur dans mon cul, plus l’air menaçant de Tiphaine m’ont paradoxalement donné un orgasme. Tandis que sa petite amie à côté de moi s’est mise à crier à son tour, par ce qu’elle n’a pas arrêté un instant d’utiliser ma main pour avoir le sien. Sophie a commencé à se calmer et j’ai senti à quel point ça lui avait plu, en sentant sous ma paume ses longs poils de sexe trempés avec sa mouille et sa sueur. Elle a sursauté quand elle a entendu la voix de ma cousine nous demandons d’un ton réprobateur « ça y est, c’est fini ?! ». Dès que nous avions répondu oui, ma cousine m’a giflé.
    
    — Putain, arrête ! On s’est prises au jeu voilà tout, on n’a pas fait ça exprès pour te faire du mal.
    
    — Tu veux dire que vous vous êtes glissé des doigts par accident ?
    
    — On est désolés. On le refera plus.
    
    — Tiens en parlant de putain, mais où t’as enfoncé tes doigts ?
    
    Elle a retiré la main de sa petite amie qui était restée sur mon bas-ventre, en la soulevant par son poignet. Elle s’est mise à sentir les bouts de ses doigts et a pris un air dégoûté tout en me disant ...
    ... :
    
    — Alors c’est ça que t’aimes, qu’on te mette un doigt dans ton trou à merde pendant que tu te branles ?
    
    Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Je n’ai pas su quoi lui répondre. Je me suis contentée de bégayer des choses inaudibles tout en continuant à m’excuser.
    
    — La ferme ! On comprend rien à ce que tu racontes et arrête de t’excuser parce qu’après ce que je vais te faire, c’est moi qui devrais m’excuser.
    
    J’étais morte de trouille, j’ai cru qu’elle allait me violer ou pire que ça, et c’est là qu’elle m’a tendu les doigts de Sophie dont le majeur était taché de traces brunes suspectes et m’a dit :
    
    — J’suis contente pour toi que tu t’es bien amusée. Mais maintenant nettoie tes saloperies !
    
    J’étais pétrifiée, comment on a pu en arriver là en si peu de temps. J’ai regardé en direction de Sophie qui attendait ce que j’allais faire. Voyant que j’hésitais, de sa main gauche Tiphaine m’a maintenu par la mâchoire pour m’obliger à l’ouvrir, tandis qu’avec la droite elle m’a enfoncé les doigts salis de sa copine dans ma bouche. Comme je me suis mise à me débattre, Sophie s’est collée à moi dans mon dos m’empêchant de fuir ma punition, en m’enlaçant au niveau des épaules avec sa main libre.
    
    Les deux amantes s’amusaient beaucoup en me mettant cette main dégueulasse presque entièrement dans ma bouche. Elles la retiraient quand j’avais un haut-le-cœur et Sophie recueillait avec sa paume ma salive et ma morve qui me dégoulinait sur le menton, avant de remettre sa ...
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