Enterrement de vie de jeune fille - Histoires de Sexe

Enterrement de vie de jeune fille

... ne se passerait rien. Quand je me suis retrouvée dos à lui, je sentais sa queue qui touchait mon dos. Je n’osais pas me retourner car je savais qu’il bandait à nouveau et j’avais peur de craquer et de recommencer.
— Et alors ? crièrent les filles en chœur.
— Il me malaxait les seins depuis plusieurs minutes avec ses mains noires et énormes ; sa queue était posée sur la raie de mes fesses. Il me glissa dans l’oreille que j’étais dans le top trois de toutes les filles avec qui il avait baisé. J’ai pris ça pour un compliment. Je savais qu’il n’en avait qu’après mon cul, mais il a réussi à me flatter comme il fallait. Je lui ai répondu que j’étais très touchée, mais que j’avais les fesses en feu et que je me mariais dans une semaine.
— Et alors, qu’est-ce que tu as fait ?
— Il me rassurait et me complimentait en me disant que mon cul était le plus beau du monde. Il n’arrêtait pas de me titiller les tétons, de me malaxer les seins ; j’étais de plus en plus excitée, le désir montait de plus en plus. Sans m’en rendre compte, je me suis appuyée sur le mur de la douche, je me suis cambrée le plus possible ; mon dos se creusait pour que mes fesses s’écartent le plus possible : connaissant la taille de sa queue, je n’avais pas le choix. Il a vite compris qu’il avait gagné ! Il a lâché mes seins, agrippé ses mains à mes hanches, et deux secondes après sa grosse queue entrait à nouveau dans mes fesses. Il me sodomisait tout doucement, c’était très excitant… Il me caressait en même ...

... temps le clitoris, et je sentais sa queue qui entrait entièrement à chaque fois. Il voulait que je jouisse, et j’ai joui sur ses doigts.
— Génial, ma belle, et après ?
— Il a sorti sa queue de mes fesses. J’étais surprise : je pensais qu’il allait encore me défoncer le cul comme tout à l’heure, mais quand je me suis retournée face à lui, j’ai compris qu’il voulait autre chose. Je me suis mise à genoux sans dire un mot, j’ai glissé sa grosse queue entre mes seins et lui ai fait une branlette espagnole pour le remercier de cette superbe baise.
— Je sais que les hommes adorent ça ! Et vu sa tête, je suis sûre d’avoir trouvé ce qu’il voulait. J’ai même mis un point d’honneur à avaler sa queue entièrement. J’ai mis mes mains sur ses fesses, j’ai ouvert ma bouche en grand et j’ai poussé vers moi. Après trois essais, mon nez touchait enfin son ventre ; j’ai cru que j’allais m’étouffer ! Il souriait ; je pense qu’il était heureux que j’aie avalé sa queue entièrement. Après, il a éjaculé dans ma bouche. J’ai été surprise par la quantité de sperme qu’il lui restait ; j’ai bien cru que je n’avalerais pas tout.

Les filles applaudirent Emma et la félicitèrent d’avoir assuré.

— Allez ! On part en boîte ; et surtout pas un mot à Fred, les filles !

Une fois les filles parties, on en a profité pour sortir du placard avec un sentiment bizarre.

Est-ce qu’avoir vu nos copines comme des chiennes avec ce mec nous décevait ?

Ou d’être excités comme des fous de les avoir vues se faire ...