Cadeau d'anniversaire - Histoires de Sexe

Cadeau d'anniversaire

... que Sylvie s’empressait de m’emmener vers le septième ciel. Peut-être que Sylvie n’avait jamais fait cela avant, mais elle est une femme, et elle savait clairement ce qui pouvait faire du bien à une femme. Ou alors, elle apprenait très, très vite. Je me débattais contre les liens qui emprisonnaient mes bras, je voulais prendre son visage à pleines mains. Le désir que j’avais de l’embrasser, je le reportais sur le sexe de Philippe qui prenait ma bouche d’assaut. Mes yeux alternaient entre le regard ravi de Philippe qui dominait au-dessus de moi, et les cheveux de Sylvie qui enfouissait son visage entre mes jambes. Après un moment je dus rejeter le sexe de Philippe. Il me fallait respirer, je recommençai à crier mon plaisir.

— Oui, oui, c’est bon, oui, ah ! alors que Sylvie me torturait impitoyablement, sa langue toujours plus présente sur mon clitoris.

Et puis ce fut l’orgasme, fort et long. Je tombai en arrière, sur le dos, les yeux clos.

Alors que je me remettais de mes émotions, je me rendis compte que Philippe était prêt à davantage d’action. Il détacha Sylvie complètement et ils passèrent un bon moment à s’embrasser et à se serrer l’un contre l’autre. Sylvie en profita pour enlever son string et son soutien-gorge. Ils étaient tous les deux devant moi et Sylvie commençait de sucer Philippe quand il me regarda et me demanda :

— Est-ce que tu veux la remercier du plaisir qu’elle vient de te donner ?

Là encore, je hochai la tête. Oui, je voulais lui donner ce ...

... qu’elle m’avait donné.

— Très bien. Mais nous allons faire les choses un peu différemment. Sylvie, vient ici.

Philippe prit une chaise, s’assit, et positionna sa femme dos à lui. Elle comprit tout de suite ce qu’il voulait, et accueillit immédiatement son sexe dans sa chatte, avant de débuter un lent mouvement de va-et-vient.

— Aurore, je veux que tu te mettes à genoux devant nous. Pendant que je baise Sylvie, je veux que tu la lèches, que tu la fasses jouir encore plus fort que ce que je peux lui donner.
— Oui, je veux bien.

Seules mes mains étaient encore attachées, il ne me fut pas très difficile de me mettre en position, et de débuter mon œuvre.

C’était surréel de voir le sexe de Philippe la pénétrer encore et encore, le même qui, quelques minutes plus tôt, était dans ma bouche. J’étais fascinée, mais je trouvai bientôt mon rythme sur le clito de Sylvie, aidée par ses cris. Ses mains étaient libres, elle, et elle en profitait pour me coller la tête contre leurs sexes. Elle hurlait véritablement de plaisir.

— Oui, oui, oh mon dieu, oui, je… je… oui, oui, baise-moi, baise-moi, oui prends-moi, ho, ah, ah…

Ses cris allaient crescendo vers l’orgasme.

— Ne t’arrête pas, non, oui, suce-moi, ne t’arrête pas, suce ma chatte, encore, encore. Oui, Oui, OUI !

Quand son orgasme la submergea, Sylvie se laissa aller en avant, attrapa mon visage à pleines mains en m’embrassant avec force. Ses yeux brillaient.

— C’était trop bon, Aurore, c’était merveilleux. ...