1. Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (3)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... que tu m’éduques comme Ellllllleeeeeeee ! “
    
    Je jetai un coup d’œil de triomphe à son mari, qui ne pipa mots. En donnant le dernier coup de boutoir qui la propulsa dans une jouissance folle, pendant que sa femme récupérait les yeux mi-clos, je lui fis un geste de la main. Il devait dire quelque chose, se montrer outré. Et il le comprit très bien.
    
    — Comment ? Quoi ? Quoi ? Mais tu es devenue complètement folle ma pauvre Sylvie. Tu joues les putes de bas étage devant moi et ton beau-frère, tu te fais tripoter par des inconnus, tu tailles des pipes dans des toilettes ! Et tu veux quoi ? ! Quoi ?! Que Paul fasse de toi son jouet sexuel, son esclave, sa soumise, comme il l’a fait de sa femme ! Mais ça va pas non. J’ai été trop permissif jusque-là. Je pensais que le jeu s’arrêtait ce soir. Je suis trop tolérant avec toi. Alors ou tu reprends tes esprits ou tu fais la pute comme tu veux, mais sans moi. Je ne vais pas toujours tenir la chandelle ! “
    
    Raphaël jouait à la perfection le mari bafoué, frappé dans son honneur qui veut remettre sa femme à sa place. Sylvie, le regard mauvais, s’en prit à lui :
    
    — Je te préviens Raphaël, tu resteras et tu regarderas tout ce que Paul me demandera de faire. Tu y assisteras et tu participeras aussi. Je veux que tu aies honte de moi, que tu sois le témoin fidèle de ma dépravation !
    
    — Il n’en est pas question. Tu fais ce que tu veux, mais sans moi. Et ne viens pas te plaindre après.
    
    — Tu seras tout le temps là. Tu m’entends. Ou ...
    ... alors après l’éducation de Paul, je me tape tous tes collègues de travail, tous tes amis, et même ton frère et ton père. J’en ai la volonté et les moyens. Je sais qu’ils me désirent tous. Comme cela, tout le monde saura que tu es un mari faible, qui ne sait pas tenir sa petite pute de femme ! Et que sa femme est un vrai garage à bites ! Alors que dis-tu de ça ? !
    
    — Tu n’oserais pas te corrompre comme ça ? Tu te rends compte ? Coucher avec mon frère et mon père ? Tu es complètement folle ma pauvre Sylvie.
    
    — Tais-toi. J’en suis capable et pire encore. Que dirais-tu d’une petite exhibition et d’un gang bang avec tes collègues et ton patron. Soit tu obéis à mes caprices et tu assistes à tout, soit je mets mes menaces à exécution. Bon, Paul, tu viens avec moi au lit... on sera mieux ! Et toi, tu viens aussi, tu prends la veilleuse que tu rapproches du lit... je veux que tu puisses presque me toucher ! Cela va encore plus m’exciter !
    
    — Bien... alors comme ça Madame Martin, épouse jusque-là, prude, voire coincée avec son mari, veut être débauchée et soumise sous les yeux de celui-ci...
    
    Dorénavant, c’est moi qui donne les ordres. Tu as compris petite pute ? "
    
    Et je lui pris le menton d’une main ferme, approchai son visage du mien et lui crachai sur la bouche. Étonnée, elle eut une réaction de défi.
    
    Je lui assénai alors une gifle. Soumise, vaincue, elle baissa la tête.
    
    — Alors tu veux être traitée comme une putain et une débauchée, comme ta sœur.
    
    — Oui Paul.
    
    — ...