Les Jumeaux Croisés 12 - Histoires de Sexe

Les Jumeaux Croisés 12

... la dernière goutte du foutre fraternel pour éviter les tâches dans sa chambre fraîchement lavée. Il lui rendit la politesse en lui léchant la vulve et le clitoris alors qu'elle était assise sur la machine à laver dans la buanderie dont les vibrations contribuèrent presque autant à son orgasme que les caresses de Loïc.

Ils passèrent la nuit du samedi au dimanche dans le lit de Loïc pour ne pas devoir rechanger les draps du lit parental. Ils ne dormirent cependant pas beaucoup, trop occupés à se donner du plaisir en attendant de pouvoir vivre leur amour à l'abri des regards.

Ils se réveillèrent assez tard et ne perdirent pas de temps pour recommencer à faire l'amour. Après un bref brin de toilette, Loïc se coucha sur sa sœur, s'empara de ses seins et se mit à la baiser comme si le sort du monde en dépendait. Ils s'embrassaient en gémissant, fébriles dans leurs étreintes de plus en plus sauvages. Léa avait l'impression que le sexe de son frère n'en finissait plus de s'enfoncer en elle tandis qu'elle accumulait des orgasmes de plus en plus ravageurs. Alors qu'il s'épanchait pour la troisième fois au plus profond de son vagin, elle le supplia « Je n'en peux plus mon amour! Je peux encore te sucer si tu veux mais ne me fais plus jouir sinon les parents verront tout de suite que j'ai été baisée et par tout un régiment encore bien! »

Elle eut tout juste le temps de se maquiller, après une douche salutaire, pour dissimuler les cernes autour de ses yeux quand elle ...

... entendit la voiture s'arrêter devant le garage. Loïc ouvrait déjà la porte de rue et embrassait sa mère qui lui avait sauté au cou. Léa courut vers eux et se dit en s'approchant (« heureusement que Lolo a pu se videren moi sinon il serait en train de bander comme un taureau en voyant Maman habillée comme ça! Elle a rajeuni de dix ans ma parole ») . il faut dire que Cécile était resplendissante en short moulant et bustier assorti ; lequel bustier était juste ce qu'il fallait trop petit que pour transformer sa poitrine en bombe prête à exploser au visage du premier mâle venu.

Son père avait l'air tout aussi heureux et détendu que son épouse et il lui fit une accolade d'ours, la soulevant de terre comme lorsqu'elle était petite. Ce n'est que lorsqu'il la reposa à terre qu'elle aperçut la troisième silhouette qui descendait de la voiture. C'était une jeune fille blonde, un peu plus âgée que Loïc et elle et tout à fait ravissante dans le même ensemble short-bustier que sa mère. Cécile faisait déjà les présentations « Anne-Marie , voici Loïc et voilà ma Léa! » . Loïc embrassa gentiment la jeune fille sur la joue non sans reluquer sa poitrine au passage. Léa qui s'était habillée très sagement regretta son excès de modestie en voyant les yeux de son frère s'égarer. Discrètement elle lui pinça les fesses et bomba le torse pour lui rappeler qui avait la poitrine la plus imposante du trio féminin. Puis Anne-Marie l'embrassa sur la joue en disant « Cécile m'a tellement parlé de toi, Léa! ...