Tu vas te forcer à marcher comme une Sissy
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: laikabitch, Source: xHamster
J’étais assise au bord du lit. En porte-jarretelles et en bas nylon noirs de qualité. Le Maître s’approcha avec une paire de sandales à la main. « Enfile ça soumise ! » me fit-il en me les jetant devant les pieds.
Je n’avais jamais vu ces sandales à talons, mais elles étaient magnifiques. Un peu inquiétante, car en fer enduit de verni. Impressionnante ! Extrêmement serrée et munie d’un cadenas à la cheville.
Une fois les pieds chaussés et prisonniers, le Maître ferma les cadenas aux chevilles. Je sentis alors mes pieds étriqués pris au piège. La courbure gracieuse de ma voute plantaire, mes orteils pliés et crispés semblaient aguichés mon Maître dont j’ai vu une belle bosse se dessiner dans son pantalon en cuir.
Ces Shoes sont tellement serrées qu’il m’est quasiment impossible de bouger les orteils. Mon Maître me prit une main pour m’aider à me relever. Une fois debout, je ressentis immédiatement les effets de la soumission envahir mes jambes galbées par la position artificielle des talons aiguilles. Les muscles de mes mollets, mais aussi de mes cuisses sont fortement sollicités pour rester debout. Mes pieds enserrés sont déjà en train de souffrir alors qu’il n’y a que deux minutes que je porte ces Shoes ! J’ai l’envie irrépressible de me rasseoir, mais le Maître me retient fermement la main et m’ordonne sur un ton ferme :
"Comme je trouve que tu manques de distinction quand tu marches en talons, ces sandales vont te permettre de marcher avec plus d’élégance pour ...
... ton Maître. J’ai fermé les cadenas à tes chevilles. Je garde la clef. Tant que je ne te libère pas, tu vas rester dans cet état de soumise totalement dévouée. Tu vas te forcer à marcher comme une Sissy pendant des heures."
J’étais prisonnière de son fétichisme inconditionnel pour les talons hauts. Totalement à sa merci, je me rendais compte que je ne pouvais pas les enlever et serais obligée de tout accomplir perchée sur ces talons aiguilles qui allaient vite, je le sentais, devenir des ustensiles de torture.
J’ignore combien d’heures j’ai dû garder ces chaussures à mes pieds. Je sais juste qu’ils étaient si serrés que mes pieds n’enflaient même pas malgré tout le sang concentré au bas de mon corps. J’ai été contrainte de faire le ménage chez mon Maître vautré devant la télévision. Il se rinçait l’œil sur la cambrure de mes pieds, sur le galbe de mes jambes gainées de nylon. Il bandait sans arrêt. À chaque fois que je passais dans son sillage, je sentais ses yeux reluquer mes pieds et mes chevilles talonnés.
Il me soulagea quelques fois quand il devait se vider, car ses testicules se gorgeaient de plaisir dominateur à force de voir sa chienne soumise déséquilibrée sur ses talons aiguilles. Quand je parle d’apaisement de mes douleurs, n’allez pas croire qu’il ouvrit les cadenas pour me libérer les pieds. À un moment donné, j’ai même eu la crainte qu’il ait perdu la clef, car ces talons en fer ne pouvaient alors plus jamais être retirés, sauf par des pompiers. Non, mon ...