Un jouet utile
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hgode,
attache,
gifle,
fouetfesse,
sm,
Auteur: Francis39, Source: Revebebe
... bien en vue devant lui.
— Tu as aimé ça, mon chéri ? Tu aimes le goût de ma chatte ? Dis-moi ce que tu aimes.
— J’adore votre chatte, Madame. Lorsque je passe ma langue sur elle, je goûte votre beauté. Je m’enivre d’elle. C’est comme si je buvais l’eau d’une fontaine. C’est…
— Cesse de regarder ma vulve. Regarde-moi dans les yeux et continue.
Je lui soulevai le menton avec deux doigts pour lui relever lentement la tête et le forcer à me regarder, et plongeai mon regard dans le sien. Ce sont des moments que j’apprécie. Je peux lire dans ses pensées parce qu’il les ouvre complètement lorsqu’il est dans un tel état.
— C’est un bonheur et une joie immenses, continua-t-il. Je sens avec ma langue les replis, je goûte votre féminité, Madame. C’est comme si tout mon être ne voulait que cela, Madame.
— Et ton pénis, tu y penses pendant ce temps ?
— Un peu, pas trop. Je suis trop concentré sur ma bouche car je sais que le plaisir de lécher votre chatte est éphémère et tout mes sens y sont concentrés.
— C’est bien, dis-je en souriant. Et les gifles, tu aimes ?
— J’aime sentir votre domination, votre charme sensuel en une douleur, Madame. J’ignore pourquoi, mais j’aime ça.
Je passai doucement ma main sur son sexe, très doucement pour ne pas qu’il jouisse, car je le sentais près du summum de l’excitation. En fait, il était prêt pour une autre série de corvées.
— Allons, lui dis-je en effleurant son membre. Tu as eu ta récompense. Va terminer les choses que je t’ai ...
... demandées de faire pour aujourd’hui. J’ai pris dix minutes de mon temps pour te châtier, tu devrais être reconnaissant à présent.
— Madame, je vous remercie énormément. J’apprécie ma récompense et je me mets aussitôt au travail.
Et ainsi de suite. Moi de lui donner des récompenses ou des punitions, appelons-les comme on voudra, lui de me servir docilement.
À un autre moment, je l’ai fait mettre, nu évidemment, à quatre pattes sur le tapis et me suis assise sur un pouf près de ses fesses. J’ai mis un gant et, avant même qu’il se demande ce que j’allais faire, je l’ai frappé très fort sur la fesse gauche, PAF !
— Qu’est-ce que ça fait ? lui ai-je demandé en caressant ensuite la zone rouge sur sa fesse.
— Je me sens soumis Madame. L’humiliation me fait du bien Madame. Je ne sais pas pourquoi, je me mets à bander, mes couilles deviennent plus dures.
— PAF ! Alors tu aimes vraiment ça ? PAF !
— Oui… oui… Madame.
PAF ! PAF ! PAF ! Je frappais de plus en plus fort et sans retenue, pour le plaisir.
— La douleur, c’est ça que tu aimes ? PAF !
— Ahhrrrg.
Il commençait à gémir de douleur.
PAF ! PAF ! PAF !
— Allons, répond quand je te parle ! PAF ! C’est la douleur que tu aimes ? Parle !
Je voulais lire dans son âme.
— C’est… PAF ! Aie… PAF ! C’est… je crois le fait que vous me fassiez mal et m’humiliiez, Madame, je pense… PAF ! Aie ! Mais… PAF ! pas la douleur… PAF ! en elle-même.
Je caressai doucement la rougeur sur sa fesse, avec ma main qui n’était ...