Voyage d'étude au Laos
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
Masturbation
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: 1941carioca, Source: xHamster
... collègues contenait un somnifère léger mais qui mélangé à l’alcool de riz que nous fabriquons ici devient un anesthésique redoutable, mais sans danger. Ils ne se souviendront que de des danses et du repas.
Le verre de Laurence contenait une drogue de ma composition, subtile combinaison secrète dont la recette me vient de mes ancêtres, elle a pour effet d’être un antalgique puissant, d’annihiler la volonté et d’exacerber tous les sens et plus particulièrement le désir, la sensualité. Elle aussi ne se souviendra de rien.
Quant à vous, vous avez été au même régime que moi : un stimulant qui va vous garder éveillé et qui fixera dans votre mémoire ce que vous allez voir. »
Laurence, nue, était allongée sur des tapis de soie épais, sa tête reposait confortablement appuyée sur des coussins. Sur ses lèvres flottait un sourire de plaisir.
C’était une belle femme mure aux formes épanouies, blonde avec des seins lourds mais fermes dont les globes, dans la position couchée s’étalaient sur torse. Son ventre plat finissait sur un mont de vénus bombé. Et, pour la première fois de ma vie je vis un sexe de femme entièrement épilé.
Dans la lueur des quelques bougies qui avaient été allumées son sexe ressemblait à un gros abricot, rien ne dépassait de sa fente intime.
Les deux danseuses étaient nues elles aussi, mais je n’arrivais pas à les différencier tant elles se ressemblaient, cheveux noirs longs dénoués qui tombaient sur les reins, petits seins en pomme dont les ...
... tétons pointaient vers le haut, taille et fesses androgynes, sexes recouverts d’un duvet noir et une toison pubienne aux poils drus mais limitée au mont de vénus. , Des jumelles sans doute tant elles étaient identiques.
Même leurs gestes précis étaient synchrones. Elles s’enduisaient le corps d’une espèce d’huile de couleur ambrée au parfum entêtant.
Quand elles furent toutes deux ointes, luisantes, elles commencèrent à masser Laurence avec cette huile. Leurs doigts agiles aux ongles longs manucurés et décorés se promenaient sur le corps de Laurence et semblaient suive une chorégraphie harmonieuse. Cependant, aucun espace du corps de Laurence n’était oublié, l’intérieur des cuisses, les lèvres du sexe, les seins, et même la rondelle ridée de l’anus.
Une des deux danseuses est venue chevaucher Laurence qui avait été couchée sur le ventre, elle s’est allongée sur elle tête-bêche et a commencé un mouvement de glissade, allant et venant sur le corps de Laurence, les poils de sa toison laissaient un sillage sur son corps à chaque passage du sexe de la danseuse qui semblait coulisser sur un rail le long de la colonne vertébrale.
L’autre danseuse avec des gestes minutieux retiraient les olisbos de leur logement et les montraient au « Prince ».
Celui-ci m’expliqua que ces objets étaient très anciens, ils appartenaient aux épouses d’une dynastie qui a longuement régné sur le Laos. Les épouses délaissées au profit des concubines avaient le droit d’assister aux ébats de leur ...