1. Bonne partie de jambes en l'air pour me faire


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Anal Mature, Auteur: Grossechiennededoual, Source: xHamster

    ... commencé à doigter mon petit cul, sous le regard intéressé de mon chéri qui savait où je voulais en venir, et qui sait aussi que l’étroitesse de mon anus est un véritable délice. Après quelques minutes d’introduction de deux doigts, il était prêt ! Je me suis donc retournée, après avoir lâché la queue bien raide de mon homme, et je me suis allongé tête vers le sol, cul bien dressé en l’air en le remuant lentement.
    
    « allez mon chéri viens te vider les couilles dans mon trou du cul »
    
    L’invitation était lancée. Eric ne s’est pas fait prier et il s’est redressé, mouillant un peu son gland avec de la salive. Puis il s’est placé au-dessus de moi, heureusement pour moi sans passer par la case chatte, il a présenté sa queue devant mon petit trou et tout naturellement il a inséré son gros gland, avalé tout doucement par mon anus dilaté. Il sait que dans ces moments-là, il entre lentement sa pine, histoire que le trou s’agrandisse doucement, avant de commencer les vas et vient, sinon il me déchirerait. Il avança alors, centimètres par centimètres dans mon trou de balle, avant de taper ses couilles dans mes fesses, je poussai un cri de plaisir car il l’avait enfin mise entière. Puis il commença doucement à m’enculer, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Il était au-dessus de moi donc ...
    ... il avait toute l’amplitude nécessaire pour bien me sodomiser. Mon cul s’écartait et il alla de plus en plus rapidement, mon trou devenait béant et il la sortait presque en entier avant de la replonger dans mon trou, je criais de plus en plus et le plaisir anal est vraiment très différent, il mit alors ses deux mains sur mon cul, et m’encula avec force, s’appuyant vraiment contre moi pour m’enculer jusqu’à la garde ; je ne mis pas longtemps à jouir et je criais vraiment, sans pouvoir m’arrêter, tant l’orgasme fut long et profond, il ne semblait pas vouloir s’arrêter. Eric continuait à me ramoner le conduit et ne semblait pas vouloir juter, j’en prenais plein le cul et j’allais pas pouvoir m’asseoir de deux jours, je voyais le foutre de ce matin qui perlait de ma chatte, heureusement Eric ne voyait rien ! Il me baisa ainsi pendant de longues minutes puis il me dit qu’il allait juter dans mon cul et je lui dis deux trois paroles salasses pour le motiver ; il jouit alors dans mon cul er déversa son foutre sans ressortir, je sentis la giclée au fond de mon anus et je tombai sur le sol, raide défoncée. Je me relevais tout de même pour aller aux toilettes, me tenant la chatte et le cul car ça coulait des deux trous, j’avais été baisé comme une chienne deux fois, et je ne regrettais pas mon mode de vie ! 
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