1. Sous la coupe d'une dominatrice pudique


    Datte: 22/07/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, uro, délire, Auteur: AuxpiedsdeMaîtresse, Source: Revebebe

    Je l’avais souvent vue à la bibliothèque municipale où elle venait préparer ses cours de Math, alors que moi je cédais à ma passion de l’histoire locale. Pendant très longtemps nous ne sommes pas parlés, mais je sentais bien qu’elle me regardait, sans en avoir l’air, mais avec une certaine insistance.
    
    C’était une femme d’environ cinquante ans, vingt de plus que moi alors, grosse (pas loin de 100 kg) mais grande, avec une très forte poitrine qui saillait fortement sous son chemisier blanc sous lequel on devinait un soutien-gorge à bonnets très profonds, et avec pas mal de ventre malgré une robe flottante qui cherchait certainement à le dissimuler. Son visage, comme c’est souvent le cas, était plus beau que son corps, quoique d’aspect très sévère. Ses cheveux bruns coupés en carré très court commençaient à grisonner ; elle portait de fortes lunettes qui lui donnaient un aspect encore plus sérieux. Au total, elle avait l’aspect d’une intellectuelle et d’une femme sérieuse, de celles que l’on voit se rendre à la messe le dimanche, en tailleur et escarpins vernis un peu démodés, mais BCBG.
    
    Au total on percevait une forte personnalité, une femme habituée à commander et qui aimait certainement cela, ce qui allait se confirmer… Mais aussi une femme qui devait être seule parce que d’aspect peu engageant et surtout trop forte dans tous les sens du mot. Les hommes préfèrent rarement les grosses… et le plus souvent ils détestent les femmes qui les dépassent d’une tête et sont plus ...
    ... intelligentes qu’eux. Moi, c’est exactement le contraire, je trouve toujours un charme fou aux femmes de tête, même si leur physique n’est pas flatteur…
    
    Comme je ne lui parlais pas, que je suis un peu timide avec les femmes qui m’impressionnent et qu’elle se contentait de me regarder, les choses auraient pu en rester là. Si ce n’est qu’un jour elle s’avisa de laisser tomber sa règle ; comme j’étais pour une fois tout à côté d’elle, je me suis levé pour la ramasser et la lui tendre. Elle la reprit sans même un merci, mais en me regardant de façon bizarre, et j’eus l’impression désagréable qu’elle me jaugeait, comme elle devait jauger ses petits élèves. Cinq minutes plus tard, la règle retombait et je la ramassais de nouveau. À la troisième fois, alors que je tendais la main pour la ramasser, elle mit le pied sur ma main en appuyant légèrement. J’avais compris ; et donc c’est moi qui lui demandais pardon d’avoir placé ma main sous sa semelle… En trois mouvements elle m’avait fait comprendre ce qu’elle aimait, et avait compris ce que j’étais : un homme normal avec les hommes, mais qui rêvait d’esclavage avec toutes les femmes qu’il croisait, sans que celles-ci le sachent, se contentant de le trouver particulièrement serviable et gentil, avec un petit côté féminin qui les rassurait et leur plaisait souvent.
    
    À partir de ce moment ma belle enseignante commença à venir plus souvent à la bibliothèque et à me demander des services : aller lui chercher un dictionnaire, des fiches ...
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