1. Prom o canape


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... que je viendrais la récupérer au bout de la rue où habitait sa tante. Je fus un peu stupéfait de sa mise. Elle arborait une minijupe et des talons fort hauts. Je trouvais cela compromettant. On eût dit une pute. Elle ne déparait pas au bois de Boulogne où nous nous dirigions. Je m'étonnais que la tante ne s'en fut offusquée. Elle me répondit que la tante s'endormait souvent devant la télé et ne l'avait vu ainsi partir. Nous rîmes de bon cœur. Nous semblions jouer un bon tour à la terre entière. J'étais flatté d'avoir à mes côtés cette jolie fille.
    
    Par jeu je crus devoir faire un détour vers le trop fameux bois de Boulogne. Je prenais souvent cette fantaisie avec une nouvelle conquête afin de susciter un émoi feint ou sincère. Là ma jolie serbe demeura indifférente à un tel spectacle. Je fus étonné de son défaut d'étonnement. Je lui en marquais la surprise. Je lui dis ayant pris parti maintenant de la tutoyer : « As-tu vu ce conglomérat de filles plus dénudées les unes que les autres ? » Avec le dernier sérieux et affectant un haussement d'épaule, elle répondit ; « Dans mon pays c'est coutumier. Un gagne-pain comme un autre. »
    
    Je fus soufflé de ce cynisme en une pareille âme. L'expérience de la vie l'avait déjà corrompu et moi en bourgeois français je faisais figure ici d'un jouvenceau. Je la regardais à présent autrement. C'est elle qui indéniablement menait le jeu. Peut-être ne l'avais-je impressionné en rien. Se ravisant un peu tard qu'elle avait trahi une part ...
    ... d'ombre de sa personne, elle ajouta : « C'est dégueulasse ce qu on impose à ces pauvres filles. » Il n'était pas difficile de voir qu'elle ne pensait pas une once de qu’elle disait. » Elle avait un cœur dur et mort. Tout était joué. Je trimbalais une actrice dépravée.
    
    J'en fus ainsi mortifié. Elle dut percevoir un peu qu’elle avait abîmé l'ambiance. Aussi reçus-je sa première caresse. Elle passât sa main dans mes cheveux. D'un ton espiègle, elle dit : « J'aime bien votre tête. Vous avez une tête d'ours. » J'eus un sourire forcé. Je gambergeais déjà. Elle renchérit comme pour me provoquer. « Je ne veux pas que vous rentriez trop tard. Je me mets à la place de votre femme. » Le propos était pervers. Elle me jetait le marché en main. Je ne parvins qu'à bredouiller une réponse : « Ma femme est en province. » J'étais agacé contre moi-même.
    
    Heureusement apparût un bandeau de la Seine puis le restaurant. Un puis deux hommes se retournèrent sur elle après que nous les eûmes croisé. C'est vrai qu’elle était jolie. Je pouvais être fier de l'avoir ce soir à mon bras. Je revins du coup à ma réputation ou prétention de libertin. L'après-midi pris d'un soudain scrupule, j'avais examiné son dossier pour considérer l'âge et qu’elle ne fut mineure. Elle avait eu dix-huit ans au début de l'année. Je me faisais l'effet d'un de ces porcs en quête de chair fraîche et qui écument l'Asie. N'était-elle pas plus jeune que mes deux filles ?
    
    Elle avait pris mon bras avant que nous passions le seuil ...
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