1. Cul nu, t'es là ?


    Datte: 23/01/2018, Catégories: fh, fsoumise, fsodo, jeu, aliments, fouetfesse, couple, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... tu écartes une fesse et tu te positionnes. À la sensation que je perçois, je comprends alors que tu viens d’aller chercher dans notre chambre le lubrifiant qui est au fond de ton chevet. Je proteste faiblement :
    
    — Euh, tu sais que je ne me suis pas bien débarbouillée par là…
    — Non, non, c’est bon. Et même s’il en restait, ça pourrait être justement l’intérêt de la chose.
    
    Houlà, tu deviens particulièrement pervers ! Je n’aurais pas trop osé penser à ce genre de chose venant de ta part. Quoique, quelque part, l’idée n’est pas déplaisante ; elle est même délicieusement vicieuse ! À la fois contente et gênée, je demande :
    
    — Et si par le plus grand des hasards il en restait, tu n’as pas peur du… euh… résultat ?
    — Pourquoi j’aurais peur du résultat, ma belle salopiotte ?
    — Ben, quand même… Oooh !
    
    Tu t’enfonces en moi sans problème, c’est sidérant ! Tu me combles comme pas possible ! Tu commences à coulisser en moi, allant toujours un peu plus profondément à chaque coup de boutoir. Il ne te faut pas bien longtemps pour arriver au fond. C’est géant, cette sensation de remplissage, être tellement comblée, presque éclatée !
    
    — Y a pas à dire, on est rudement bien dans ton cul…
    — C-contente p-pour t-toi ! Pardon, c-contente pour v-vouuus ! Houlà !
    
    Tu y vas ...
    ... à présent de bon cœur. Tu te lâches carrément, tu es vraiment bestial à me pilonner de la sorte ! Mais ça me fait du bien de me faire bousculer ainsi avec mes fesses qui piquent toujours. Je constate que je développe un fonds masochiste que tu exploites, en bon sadique.
    
    Oui, c’est bon de se faire baiser ainsi !
    
    J’entends bien à tes grognements que tu vas bientôt céder, que tu vas bientôt remplir mon cul de ton foutre bien chaud. Cette simple idée de savoir que ton sperme blanc va venir me remplir dans la chaleur de mes entrailles, dans la cuisson de mon anus défoncé, tout ça me met en transe, et une sourde vague monte en moi, impérieuse, incongrue, mais si jouissive !
    
    — Oh oui, oh ouiii ! Oh, encore !
    
    Je ne peux pas m’empêcher de crier, de clamer ce désir qui me dévaste tandis que tu te vides en moi dans d’évidents râles de plaisir. Oh, que c’est bon de sentir ta queue en moi ! De savoir que tu me remplis, vicieusement, honteusement ! Oui, ça valait la peine d’essayer, mais je ne sais pas si je vais regarder de sitôt un pot de Nutella de la même façon qu’avant !
    
    Ne me dis pas que je suis une grosse cochonne, une très grosse salope, ta très grosse salope rien qu’à toi : je le sais déjà, et j’en suis fort aise !
    
    Bisous, mon amour à moi toute seule ! 
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