1. Manu n'y tient plus (1)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... solitaire.
    
    Je rapproche les deux filles l’une de l’autre pour les enfiler tour à tour, elles se tiennent la main, ne font qu’une. J’ai les deux mains occupées à les fouiller un peu et je comprends vite que les préliminaires m’ont devancé. Je sors ma pine et l’engage dans la fente de gauche. Je n’y reste pas longtemps, le confort de ce vagin est un piège à bites, l’envie d’éjaculer me tombe dessus comme sur un adolescent de 16 ans qui se taperait la mère de son copain pour la première fois. Quelle douceur, quelle étroitesse bénie. Je dois vite reprendre mes esprits et ne pas me comporter comme un goujat. Je passe à droite. Un peu plus large, inondé et profond, il m’autorise d’aller et venir et de raison garder quant à la suite. Je ne sais pas laquelle des deux m’a vue repartir comme un voleur, mais celle que je prends en ce moment apprécie de se faire remplir de ma queue. Je pompe comme un forcené et elle émet un râle étouffé par le coussin. Elle se met à agiter sa croupe frénétiquement, au point que je dois arrêter mes initiatives et lui laisser la main, si on peut dire.
    
    Je reste fixé, la bite tendue et elle s’astique sur mon zob comme sur un godemichet fixé au mur de la douche. Elle connait le chemin de sa jouissance et ne tarde pas à l’exprimer bruyamment. Je déchausse dès que je considère qu’elle a mérité une pause.
    
    Sa voisine de chambre n’a pas bougé. Elle attend. Je la prends par les hanches et l’introduit de mon gourdin humide. Le self-control dont j’ai fait ...
    ... preuve durant la chevauchée précédente me sert et j’accepte mieux le confort de ce petit con étroit. J’entre et je pousse lentement. Je pousse encore pour en atteindre le fond et je ne bouge plus. La fille non plus, elle reste immobile. Seule la pression de ses parois vaginales fait écho aux pulsations cardiaques ressenties à l’intérieur de mon membre tendu. Enserré de la sorte, j’ai l’impression surréaliste d’avoir une bite énorme, hors gabarit et le temps qui passe n’arrange rien à l’affaire. Nous restons là, ignorants des circonstances et du lieu. Je devine qu’il s’agit d’Angèle, ma petite d’amour que j’ai vue grandir, que j’ai consolée de ses premiers chagrins d’adolescente. Angèle mon cœur, ma belle-fille. Angèle je te fourre et j’aime ça. Tu me combles comme rarement je l’ai été. Aucun bruit autre que celui d’un léger courant d’air, juste ma pine encastrée dans ta chatte jusqu’à la garde, prête à gicler, prête à te remplir.
    
    Tu sais intuitivement que le premier qui esquisse un mouvement de son bassin va lancer le début de la fin de cet incroyable moment nous ne faisons qu’un mon Angèle. Nos cœurs légèrement apaisés battent à l’unisson. Je sens ta main glisser vers ton clito et entamer le déclenchement de l’hallali de cet instant enchanté. Tu commences à jouir dans bouger, je sens les contractions de ton vagin et je pousse au fond, jusqu’à ton col, en ramenant tes cuisses vers moi. Je pars, je t’ensemence, je ne sais plus où je suis et je n’ose pas crier mon plaisir. Je ...