La première fois, sur l'autoroute... (3) - Histoires de Sexe

La première fois, sur l'autoroute... (3)

... part, je bandais à mort et je coulais sans m’arrêter dans mon pantalon, je sentais que j’étais trempé.

En l’approchant encore plus, j’ai été saisi et enivré par’ l’odeur de son sexe et de ses couilles, il ne devait pas se laver souvent, il sentait le mâle et cette odeur a fini de me rendre dingue. Je l’ai regardé droit dans les yeux, j’ai attrapé sa queue, ma main faisait à peine le tour et je l’ai plongé dans ma bouche sans perdre une goutte de son urine. Le salaud a continué de pisser dans ma bouche en m’attrapant la tête et j’ai dû le boire jusqu’à la dernière goutte. J’ai adoré et j’ai aspiré les dernières gouttes en suçant son gros gland. Je le sentais grossir sur ma la langue et j’ai commencé à pomper ce gros dard qui durcissait lentement mais sûrement, en m’écartant les lèvres. Je sentais maintenant un liquide salé couler de sa bite qui était dure comme du bois et aussi grosse que celle de certains animaux que j’aime regarder baiser dans les films zoophiles, presque aussi grosse que celle d’un cheval, un poney que j’avais vu enculer une belle femme mature.

Ma bouche était ouverte à fond et il me pistonnait le fond de ma gorge avec ce gland énorme. J’avalais son jus et avec ma salive, ça faisait un bouillonnement assez suggestif.

Au bout de 3 minutes de ce traitement, il s’est enfoncé à fond dans ma gorge, j’ai cru étouffer, il a juré en me traitant de Salope et sa queue s’est encore raidie et il m’a lâché tout son fourré dans la gorge. C’était chaud et ...

... terriblement bon, j’adore le goût du foutre chaud, et j’ai avalé ses giclées qui ne finissaient plus.

Je me suis quand même reculé pour respirer et il a sorti sa queue toujours dure et luisante de sperme et de salive, putain qu’elle était Grosse et belle !

Le voyant encore dur, je lui ai attrapé les burnes et j’ai fourré mon nez et ma bouche dans son entrejambe poilue pour lui gober une couille après l’autre en lui tenant fermement la bite. Il a adoré et j’ai senti sa queue finir de se redresser. Quand je lui ai enfoncé un doigt dans le cul, il a gémi fortement et sa queue a tressauté dans ma main. Moi, j’étais trempé et je voulais qu’il me baise !

Je me suis retourné, baisse très vite mon jean et mon slip, ma queue est sortie dure et douloureuse, trempée d’excitation, je me suis penché en m’appuyant sur l’urinoir et en mettant mon visage au-dessus pour respirer cette odeur enivrante, j’ai pris toute ma mouille pour me coller sur l’anus, j’ai attrapé son pieu et je me suis collé son gland énorme sur la rondelle. L’invitation était claire et vu la taille et la dureté de sa queue, il était excité comme un âne en rut ! Il m’a pris les hanches fermement et a poussé son gland sur mon anus. Sur le coup et malgré le jus lubrifiant qui coulait encore de sa queue, j’ai cru qu’un autobus voulait me pénétrer ! J’ai poussé à fond pour m’ouvrir et j’ai senti son gland entrer doucement... oh putain, quel pied, j’ai pris en sentant mon anus éclater, distendu à craquer et ce gland ...