"Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (11)
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... proposa à Josiane, qu’il tutoyait déjà, de regarder avec lui les photos de sa “pute de mère”, comme il le disait lui-même. Josiane ne se fit pas prier.
Les deux commencèrent à discuter et apprécier les photos prises par Maurice, le mari d’Anne :
— Mon Dieu, mais que tout cela est donc excitant ! Et c’est donc votre mari qui prend tous les clichés ! Je ne savais pas que vous étiez un couple si libre, sous vos abords austères et religieux ! Vous cachiez bien votre jeu, petite coquine ! Cela lui plaît d’exhiber sa femme et de la faire ainsi baiser par des jeunes ? C’est fascinant... il faudra que j’ai une petite conversation avec lui !
— N’est-ce pas ? Si je n’avais pas vu ton fils se taper ma mère, personne n’aurait découvert le “pot aux roses” ! N’est-ce pas Fabrice ? “
Fabrice ne répondit rien, de même que la coupable à ses côtés. Mais l’excitation était aussi présente dans son regard. Il se demandait si Anne allait mordre à l’hameçon. Pour l’instant, il ne faisait rien, laissant à Raphaël, devenu “ capitaine de soirée du vice”, prendre les initiatives. Il était très impatient de voir son copain baiser sa mère sous ses yeux. Et après ... il en bandait d’avance ! Il observait son copain “entreprendre sa mère” qui était tout, sauf rétive, aux avances non dissimulées du jeune homme.
En effet, prenant l’exposé des photos de cul de sa mère comme prétexte, il s’était rapproché de Josiane. Leurs cuisses étaient collées et la main du jeune homme s’égarait sur ...
... celle-ci, à chaque fois qu’une nouvelle photo était produite de l’enveloppe.
Fabrice sentait l’excitation de sa mère devenir cataclysmique, il voyait les pointes de ses seins apparaître sous le cuir tendu de la robe, tandis que celle-ci se trémoussait sur le sofa, les joues rouges, chaque mouvement de bassin relevant comme par magie la robe de cuir assez courte et serrée aux hanches. Tant et si bien que les jarretelles de Josiane apparurent aux grands jours, forçant le regard de Raphaël qui ne pouvait s’en détacher.
Porte-jarretelles et bas résille, cuir noir et maquillage outrancier, tout pour forcer tout homme normalement constitué à la plus profonde des luxures... et emporté par l’élan de la chair, Raphaël ne s’en priva pas. Tandis que d’une main, il faisait glisser une nouvelle photo de l’enveloppe, l’autre avait pris possession de la cuisse droite de Josiane, à l’endroit où la peau était à nue entre cuir de la robe et lisière du bas résille. Les doigts caressaient la cuisse de plus en plus fébrilement... Josiane écarta sensiblement les cuisses, comme pour inviter le jeune homme à aller plus loin dans son exploration des mystères féminins. Et Raphaël, devant l’invitation lubrique, ne se priva pas d’enfoncer sa main dans l’entrecuisse offert, sous le cuir de la robe.
Fabrice avait le regard vissé sur cette main, qui, il le savait, allait trouver une absence de sous-vêtement, et lui permettre ainsi de venir explorer la fente, qu’il imaginait déjà humide.
Il vit sa mère ...