1. L'empire des femmes_Chapitre 3


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Baptou-pâle, Source: Hds

    ... ouverte. Il se précipita donc dans sa direction mais en se levant la douleur dans son anus le remis au sol et il ne put retenir un petit couinement. La géante se retourna vers lui et terrifié il adopta instantanément sa posture de soumission : sur le dos, jambes pliées et écartés et les mains derrière la tête.
    
    Gysia hésita une seconde à venir lui régler son compte lorsque Gladys en profita pour lui envoyer un coup de pied dans la mâchoire. L’Amazone ne semblait même pas avoir sentit le coup mais elle détourna tout de même son attention de Jonas pour frapper sa congénère malgré les flammes grandissantes qui se propageaient dans la pièce.
    
    Jonas étouffait et il rampa aussi vite qu’il le pût en direction de la fenêtre. Il se glissa derrière le rideau et fut soulagé en voyant la lumière du jour. Il tenta d’ouvrir le battant mais il était verrouillé. Il risqua un coup d’œil en direction de la géante dominatrice qui semblait l’avoir oublié, et il boita péniblement vers la table de marbre où il saisit un énorme sextoy semblable à un gourdin et s’en servit pour casser le carreau. L’amazone réagit au bruit et se rua sur Jonas qui se glissait déjà vers la sortie, elle frappa avec force et colère sur la fenêtre, ne pouvant pas suivre son jouet par le même passage trop étroit pour elle. Gladys s’était enfuie laissant la brute pris au piège par les flammes.
    
    Jonas avait sauté sans réfléchir pour sauver sa vie et après une chute de plus de six mètres de haut sa course fut amortie ...
    ... par une haie et il roula aux pieds d’une jardinière terriblement sexy qui le regardait stupéfaite, une cisaille à la main. Elle ne mit qu’une seconde avant de crier :
    
    « HOMME SUSPECT DANS L’EMPIRE ! »
    
    Jonas se leva péniblement et se mis à courir en boitant, il avançait à une vitesse tellement lente que la jardinière le suivait en marchant tranquillement, faisant tournoyer son taille haie, prête à frapper.
    
    Jonas couru ainsi recourber sur lui-même moins d’une centaine de mètres quand deux femmes se postèrent face à lui, les mains sur les hanches. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, probablement des jumelles. Cheveux châtains, longs et lisses venant caresser leurs grosses poitrines nues. Pour seul vêtements elles portaient la même jupe courte, surplombant leurs jambes qui à elles seules auraient pu exciter le plus impuissant des hommes. La seule différence entre les deux jumelles étaient leurs yeux : l’une avait des yeux verts au regard perçant et remplis de méchanceté, la deuxième avait un regard doux aux bleus qui vous donnait envie d’aimer cette femme pour l’éternité.
    
    Jonas s’approcha mais il était trop faible pour tenter de forcer le passage. Il se laissa tomber au sol et se prosterna devant ces créatures divines, il dit d’une voix grelottante :
    
    « Je vénère la femme, toute ma vie est consacrée à elle, j’assouvis tous ses désirs, je reconnais mon infériorité, je remercie la Femme chaque jour de me laisser exister, je la laisse décider de ce qui est ...
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