1. Rencontre merveilleuse avec Deborah


    Datte: 19/05/2018, Catégories: hh, forêt, voiture, hsodo, tutu, Transexuels Auteur: Freestyle, Source: Revebebe

    ... commence à tanguer comme un bateau ivre. Quelques va-et-vient et tu laisses perler au bout de ton clito une goutte salée !
    
    — Petite salope, tu ne vas pas jouir tout de suite ! dis-je.
    
    Tu souris… Cela fait une semaine que tu ne t’es pas touchée comme je te l’ai demandé, tu t’es abstenue !
    
    Un rien suffirait à te faire jouir, exploser…
    
    — Oh oui, un rien, en effet !
    
    Mais tu ne veux pas que cela vienne si rapidement ! Tu veux que cela dure infiniment…
    
    Nous nous embrassons fougueusement! L’un contre l’autre, nos bas-ventres en feu… Tu penses alors :
    
    — Hmmm, merci de faire durer tant le plaisir, de me faire femme si pleinement en me sentant soumise entre tes bras.
    
    Nous nous embrassons fougueusement ! Nos langues se marient et se lancent dans un ballet incessant où nos cœurs se mettent à battre de plus en plus fort, tellement nous avons envie l’un de l’autre. L’un contre l’autre, nos bas-ventres en feu… Je t’adore :
    
    — Tu es belle, je t’aime, tu es douce et sensuelle, dis-je.
    
    Hmmmmmmm, ces mots t’enivrent et décuplent tes déhanchements qui, naturellement, déjà, ont commencé.
    
    Je veux que tu sentes à quel point je te désire ; je te retourne, tu t’appuies sur la voiture, bras tendus, jambes écartées, croupe relevée au maximum ! Et ce, pour me présenter au mieux ta petite grotte d’amour où tu aimerais que je plonge corps et biens.
    
    J’ordonne doucement :
    
    — Remue les fesses, excite-moi !
    
    Tu te mets alors à tortiller du cul. Tes déhanchements de plus ...
    ... en plus marqués m’excitent de plus en plus et tu sens la pointe de tes tétons se durcir d’un plaisir envahissant tout ton corps. Je colle ma verge tendue à la raie de tes fesses et déjà, je sens ton clito qui se tend.
    
    Je relève ta robe et colle ma queue à ton entrejambe, tu bascules ton bassin d’avant en arrière et stimule mon gland. J’ai entrouvert le haut de ta robe et mes mains massent le bout de tes seins au travers de la guêpière bordeaux en soie que tu portes. Plusieurs minutes s’écoulent et mes mains passent de tes seins à ton clito. Je sens que tu mouilles au travers de ton string… Je n’y tiens plus, je l’abaisse, me penche et lèche ton vagin, le lubrifiant au maximum de salive, mes doigts courent sur ton clito. Au bout de deux minutes de ce traitement, tu cries :
    
    — Baise-moi ! Mets ta queue dans mon vagin ! Je veux que tu me remplisses !
    
    J’entre alors deux doigts et exerce un lent va-et-vient.
    
    — Tu aimes, mon amour ? dis-je.
    
    Ce mot Amour t’électrise au plus haut point et ton corps se met à tanguer encore davantage pour que j’aille encore plus profond en toi. Tu gémis de plaisir, tu tortilles du cul sur mes doigts et le regard hagard, tu cries :
    
    — Baise-moi salaud !
    
    Je n’y tiens plus, ma bite remplace lentement mes doigts et j’entre doucement dans ton vagin en te disant :
    
    — C’est ça que tu veux ? C’est ça ?
    
    Et tu me réponds :
    
    — Oui, à fond ! Je suis ta petite salope ! Ouiiiiiiiiiiii, prends-moi, je suis ta petite salope, ta petite femme, ...